1. Agnès, babby-sitter


    Datte: 04/03/2020, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, extraoffre, autostop, douche, ffontaine, confession, Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe

    ... visage de Sylvie qui a avalé toute la cyprine dont je ne suis jamais avare. Je savais qu’elle aimait cela. À mon tour je m’occupai de Sylvie. Allongée sur le canapé les jambes au-dessus de mes épaules, ma tête entre ses cuisses, je mettais à mal sa chatte et surtout son sacré clito dont la sensibilité extraordinaire l’envoyait vite au paradis des bienheureux. Nous avons ainsi forniqué à trois durant plus de deux heures, reprenant notre souffle de temps en temps en buvant du champagne.
    
    Le lendemain nous nous sommes réveillés tous les trois dans le même lit, celui de Bernard et Sylvie, en ayant totalement oublié comment nous y étions parvenus et qui avait décidé que nous dormirions ensemble. L’aspirine fut notre première boisson et en attendant qu’elle fasse un peu d’effet nous nous sommes recouché nos corps imbriqués les uns dans les autres, Bernard entre nous deux. Nos mains étreignant qui un sein, qui une queue molle, qui une chatte.
    
    La vie à trois s’est organisée tranquillement. Nous alternions l’amour à deux et à trois selon qui était présent. Cette situation a duré deux ans. Mes camarades de fac étaient un peu étonnés que je ne sorte jamais avec l’un ou l’autre et je passais, je le ressentais bien, pour une fille que le sexe n’intéressait pas ou qui en avait peur. S’ils avaient su !
    
    Mes études finies, l’Éducation nationale m’a donné pour un an un premier poste dans un lycée de province loin de Paris. Cela a été l’occasion de quitter le domicile de Bernard et ...
    ... Sylvie. Nous en étions très malheureux tous les trois, car nous nous entendions très bien socialement et nos corps étaient à l’unisson. Mais nous savions que cette situation ne pouvait trop durer. Nous étions conscients que je n’aurais certainement pas un poste juste à côté et aussi, Jan grandissant, il venait d’avoir six ans, nous ne pouvions plus nous permettre des ébats de ce genre. Il aurait pu nous surprendre. Les adieux ont été pénibles et émouvants. Durant mon séjour en province nous avons échangé pas mal de coups de téléphone, Jan me trouvant à manquer tout comme ses parents, mais bien sûr, pas pour les mêmes raisons.
    
    À mon retour sur Paris nous nous sommes vus quelquefois, mais nous avons constaté que le fil était coupé. Nous n’avions plus les mêmes préoccupations, les mêmes idées et une certaine pudeur incompréhensible polluait nos conversations. Pour Jan, il m’arrive de téléphoner de temps en temps. Je crois qu’eux se sont tournés vers des clubs échangistes, il m’a semblé entendre, lors d’une conversation, qu’ils avaient fréquenté, au moins une fois, le Cap d’Agde.
    
    L’évocation du Cap d’Agde et de ses soirées orgiaques auxquelles il m’était arrivé de participer et le récit de triolisme que venait de me décrire Agnès m’avaient mis en ébullition et ma queue se retrouvait plus que serrée dans mon pantalon. Mes contorsions pour lui trouver une position moins inconfortable n’ont pas échappé à ma narratrice. En souriant, elle est venue desserrer ma ceinture, descendre ...