Agnès, babby-sitter
Datte: 04/03/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
extraoffre,
autostop,
douche,
ffontaine,
confession,
Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe
... cela pouvait donner. J’étais très présente et, dans son intimité, elle était attirée par mon corps alors que bien d’autres femmes ne lui produisaient aucun effet. Personnellement j’admettais que c’était également ma première expérience homo et que, tout comme elle, je ne voyais pas d’inconvénients à tenter des expériences qui peuvent procurer un plaisir réciproque. Fortes de nos confidences qui nous rapprochaient et d’une bonne bouteille bue à nous deux, tout comme Jan que nous avons mis à la sieste, nous sommes parties dans ma chambre pour notre propre sieste. Mais avant et après nous avons ré expérimenté notre faculté à nous faire jouir.
Le lendemain dimanche fut fort semblable au samedi, si ce n’est que cette coquine de Sylvie avait préparé son coup depuis un moment, car elle a sorti sextoys, boules de geishas télécommandées et sexe mâle monté sur une ceinture. Une vraie panoplie. Nous nous sommes amusées comme des folles à nous faire jouir au point que le soir, nous étions mortes de fatigue. J’ai eu une pensée de compassion pour Sylvie qui devait retrouver Bernard dans son lit le soir. Preuve pour moi que je n’étais pas jalouse.
Ces confidences et leurs intermèdes nous avaient occupés toute la matinée aussi nous en sommes restés là, car l’après-midi nous devions nous rendre à nos travaux réciproques. Une fois de plus, il me tardait de nous retrouver le soir pour que je puisse connaître la suite de la vie d’Agnès. La situation me paraissait pouvoir être assez ...
... explosive. Afin d’avoir plus de temps devant nous et d’éviter des oreilles indiscrètes, j’ai acheté des pizzas et une bouteille de rosé de Provence. Nous n’avons pas oublié de boire les deux petites de whisky disponibles dans le minibar avant de nous attaquer aux pizzas. Et, tout en mangeant et buvant, je pressais Agnès de me dire comment elle avait pu gérer la situation. Je la trouvais pleine de piquant, mais difficile à tenir.
— En fait Bernard et Agnès sortaient très souvent le soir, mais plus pour des réunions concernant leur travail que pour des spectacles, théâtre ou cinéma. Et indépendamment, chacun avait ses séminaires professionnels de fin de semaine. Chacun tenant à se retrouver seul avec moi, ils étaient heureux que l’autre s’absente. J’avais les confidences des deux et leurs désirs se rejoignaient. La situation était très tenable et j’avoue que j’étais assez gâtée par l’un et l’autre. Petits cadeaux offerts discrètement sous forme de petits bijoux ou de billets de spectacle. J’étais si bien intégrée qu’ils m’ont proposé de me prendre au pair, ce qui signifiait que je vivrais entièrement avec eux, que ce soit pour les repas, s’occuper de Jan, même s’ils étaient là, participer un peu au ménage. Mon forfait de rémunération n’étant pas remis en cause et même j’ai eu droit à une augmentation. Chacun indépendamment s’attribuait, auprès de moi, le mérite des propositions de changements.
— Mais cela a duré longtemps ? ne puis-je m’empêcher de demander.
— Cela faisait ...