Agnès, babby-sitter
Datte: 04/03/2020,
Catégories:
fh,
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ffontaine,
confession,
Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe
... presque deux ans que j’étais à leur service et que de simples soirs de garde j’étais arrivée au statut de vivre entièrement avec eux trois. Jan était un petit garçon adorable qui m’aimait beaucoup et dont je m’occupais plus que ne le faisait Sylvie. Mais un samedi soir que nous nous trouvions tous à la maison, Bernard a servi l’apéritif et inhabituellement en a servi un second. Sylvie avait tenu à préparer elle-même le repas et s’était appliquée sur des langoustes flambées au cognac. Pendant ce temps, j’étais allée coucher Jan. Le repas a été délicieux arrosé d’un vin blanc de Collioure au fort degré alcoolique. Après le dessert et le café, Bernard a tenu à nous faire déguster une liqueur de citron, limoncello, produite par un ami. L’ambiance était aux histoires de plus en plus gratinées et aux rires. Tout en participant pour ma part, je ne pouvais m’empêcher de me demander quelle était la raison de ce dîner de fête. Que je sache nous n’avions rien de particulier à fêter et ni l’un ni l’autre ne m’avait mise au courant. Je finis donc par poser la question : mais, que fêtons-nous ce soir ?
Bernard et Sylvie se sont arrêtés de rire et ont échangé un sourire complice, mais ils avaient l’air tout de même un peu gênés. Bernard a hésité quelques secondes, regardant son verre qu’il faisait lentement, mais nerveusement, tourner dans sa main, puis tourné vers moi et me regardant bien dans les yeux il me dit :
— J’étais très intriguée par le ton et le côté mystérieux de sa ...
... phrase, envisageant des tas de problèmes possibles comme celui de se séparer de mes services.
— J’avais l’impression que le ciel me tombait sur la tête. L’alcool eut tout de même le mérite d’en atténuer l’effet. Je restais sans voix mes yeux allant de l’un à l’autre mi-effrayés, mi-interrogateurs.
— Mon regard a dû le rassurer, car je l’ai senti plus serein. Mais si même mon regard avait repris un air normal, mon cerveau bouillonnait. Je ne maîtrisais pas du tout la situation. Pouvais-je accepter cela ? Je n’en étais pas sûre, mais à y bien réfléchir cela ne changeait pas grand-chose.
— Et spontanément, ils se sont approchés de moi et chacun m’a embrassée sur les lèvres. Ce contact de leurs lèvres sur les miennes m’a réveillée de la torpeur dans laquelle la nouvelle m’avait plongée. À mon tour je les embrassai, mais en y ajoutant de la sensualité, ma langue cherchant le contact de la leur. Chacun s’y est abandonné et la gêne a disparu complètement. Sylvie a dégrafé mon chemisier et m’a malaxé les seins en titillant les bouts, tandis qu’avec Bernard nous nous embrassions goulûment. Une de mes mains s’est retrouvée soudain en possession de sa queue raide. Instinctivement je la branlai. J’ai senti que Sylvie me faisait basculer sur le canapé et une main est venue fouiller ma chatte déjà trempée. Avant d’éclater dans ma main, Bernard a fourré son membre dans ma bouche et m’a inondé le gosier de son foutre. Il savait que j’aimais cela. De satisfaction, j’éclatai à mon tour sur le ...