1. Le récit de Maricke


    Datte: 04/03/2020, Catégories: prost, hdomine, chantage, portrait, amourdram, tarifé, Auteur: Lionévitch, Source: Revebebe

    ... familiers. La maison avait l’air d’être florissante. Elle nous dit qu’elle pensait avoir trouvé une place sûre et faisait des efforts pour être à la hauteur de la tâche. Elle utilisa même un peu de notre argent pour s’acheter un vêtement soigné.
    
    Elle me raconta bien plus tard ce qui était arrivé le surlendemain. Jusque-là, il y avait bien eu quelques mains baladeuses qui lui avaient caressé la fesse, mais aucune n’était allée au-delà du compliment. Elle avait bien remarqué que ses collègues s’éclipsaient parfois avec un pensionnaire, mais le patron ne lui avait fait aucune remarque sur son manque de « gentillesse » avec les clients. Il ne faisait sans doute que tolérer ce qui semblait courant dans les auberges.
    
    Au milieu de l’après-midi de sa troisième journée, elle repassait les nappes quand le patron était entré dans la pièce. Sans faire de bruit, il s’était approché derrière elle et il lui avait glissé la main sous les jupes. Elle s’était retournée, indignée et l’avait toisé d’un regard ferme. Elle était blessée et déçue, lui ne sembla pas troublé.
    
    — Oh ! Ma toute belle ! Je vois que tu n’es pas disposée. Va à la cuisine chercher Gustine et reviens pour reprendre ton travail ! Fais vite, j’attends !
    
    Sitôt qu’elle était revenue dans la pièce, suivie de sa jeune collègue, il avait interpellé celle-ci :
    
    — Mignonne, raconte à cette belle dame méfiante comment je suis avec vous et dis-lui si vous êtes malheureuses dans ma maison !
    
    La fille leva les yeux et dit ...
    ... en fixant maman :
    
    — Ça, madame, non ! Nous ne sommes pas malheureuses ! Dame ! Ça oui, le patron est bon avec nous ! Il est très bon, il nous aime beaucoup et nous défend contre tous les malfaisants !
    — Tu vois, princesse, que tu as tort de décliner mon offre, je chéris mes employées comme mes enfants !
    
    Maman n’eut sans doute pas le regard engageant qu’il attendait. Il se retourna alors vers la fille.
    
    — Allons ma jolie ! À nous ! Montrons à cette prétentieuse que notre maison est « la maison de la gentillesse et de l’amour ! »
    
    Il lui mit les mains sur les épaules et aussitôt elle s’agenouilla. Elle ouvrit la braguette de notre homme et en sortit une verge déjà bandante. Elle fit le geste de l’emboucher, mais il la releva, la posa sur la table et retroussa ses cotillons. Aussitôt, elle ouvrit bien grand les cuisses et il se plaça dans l’entre-deux. Il écarta les pans de la culotte fendue et, aiguillonnant la bête, il la guida à l’entrée du con de la fille et s’y introduisit sans façon.
    
    Puis, se tournant vers maman qui était comme pétrifiée devant cet agissement tout à fait inattendu, il lui lança :
    
    — Il te reste bien encore assez de place pour travailler, nous ne te dérangerons pas !
    
    Elle reprit son fer et s’exécuta tandis qu’il foutait la jeune donzelle. Maman avait les larmes au bord des yeux, cette fille était blonde comme moi et à peine plus grande bien qu’elle fut assurément plus âgée, sans doute dix-sept ou dix-huit ans.
    
    La fille ne semblait pas ...
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