Dans la villa - Histoires de Sexe

Dans la villa

... avez raison, nous en découvrons toujours sur nous, sur notre corps. Il suffit que notre esprit et lui soient exactement en phase dans l’instant. Je vais extraire votre sexe de votre string, qu’il s’épanouisse, il est trop comprimé à l’intérieur.
— Il est déjà au comble de l’excitation. Il pressent ce qui va se produire même si une part d’inattendu demeure. Il exulte dès qu’il est près de vous et que vous vous en emparez.
— Pas d’inattendu, Jean-Marie. Je ne suis plus une inconnue pour vous, enfin dans notre relation très sensuelle. Disons plutôt que, sans complètement vous surprendre, cela va vous émouvoir, vous remuer profondément, au-delà de votre quotidien érotique sauf si vous pratiquez déjà certaines caresses libertines lorsque vous êtes seul. Voilà, il est à l’air libre, c’est quand même mieux que ce perpétuel enfermement. Regardez-le, je crois qu’il est au bout de sa métamorphose, ma main et mes doigts ne font que l’accompagner dans cette éclosion finale. Maintenant, je vais écarter la ficelle de votre string. Il faut que je tire dessus, elle ne veut pas venir. Vous la retenez ? À quoi est-elle accrochée ? Voilà, je l’ai, je l’extrais de votre fente, je la pose loin sur votre fesse. Cela ne vous gêne pas ?
— Non. Il faut peut-être que j’écarte un peu plus les jambes ?
— Facilitons les joutes d’Éros, elles n’en sont que mieux appréciées.

Mon esprit s’envole. J’oublie cette chambre que le soleil commence effectivement d’envahir. Il prend toujours plus d’assurance ...

... et de fermeté. Je ne distingue plus la mer, quelques mètres plus bas, elle commence de descendre sans bruit, elle abandonne le sable. Pas le moindre souffle d’air venant de l’ouest ne la pousse et la retient, elle prend donc tout son temps pour rendre centimètre après centimètre ce qu’elle vient de conquérir au fil des heures. Catherine aussi prend son temps. Aujourd’hui elle est telle la mer, calme mais pourtant entreprenante. Elle sait que quoiqu’il advienne, elle parviendra à ses fins. Elle débute une conquête que je n’oublierai pas.

Tout d’abord je ne remarque rien de particulier. Elle a posé une main sur mes fesses, puis une autre, abandonnant ma queue qui n’avait plus besoin d’aucun tuteur, bien qu’affolée. Elle masse longuement mes globes, elle empoigne à pleine poignée une masse de chair frémissante qu’elle serre doucement. Elle s’y enfonce, elle la comprime plus durement au rythme de mes muscles qui se crispent sous la fermeté de sa prise. Elle les caresse sur toute leur surface, elle descend tout en bas et rencontre mes testicules. Puis elle remonte tout doucement jusqu’au creux de mes reins en suivant le tracé de ma fente dans laquelle elle ne cherche pas encore à s’introduire. Elle insiste cependant aux abords de ma faille, elle sait qu’en agissant ainsi, elle me rassure et m’apprivoise. Je n’ai rien à craindre de ses doigts bien qu’ils pincent de nouveau mes fesses. Je crois qu’elle est partie mais elle revient aussitôt, elle donne des tapes sur chaque moitié ...