Dans la villa
Datte: 02/03/2020,
Catégories:
fh,
amour,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
init,
fsodoh,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... de mon cul. Je frémis d’aise sous l’effet de cette vigueur maîtrisée. Elle insiste alors et dépose sur ma chair excitée quelques claques plus appuyées. Je vacille, tout le bas de mon corps se trouve envahi par une douce chaleur.
Catherine s’éloigne de mon dos mais elle revient très vite. Ses mains se plaquent à nouveau sur mes fesses mais cette fois-ci avec l’intention d’achever son exploration. Elle les écarte, elle ouvre de haut en bas, elle les étreint fermement entre ses doigts qui veillent à maintenir mes globes aux antipodes l’un de l’autre. Ce n’est pas facile, elle les étire encore et encore. Mon intimité ne peut pas lui échapper. Elle contemple mon anus déjà à moitié dilaté par la pression de ses mains. Tout d’un coup je sens un souffle chaud courir tout le long de ma fente. Sa bouche est là, toute proche et prête à plonger vers mon trou. Patiente, elle commence par déposer des baisers légers sur mes quartiers de chair qui ne tremblent plus. La pointe de sa langue touche ma peau mais très rapidement ce sont ses lèvres totalement déployées qui jouent avec mes rondeurs. Elles jouent, elles pincent, elles mordillent et finissent par mordre à pleines dents sans pourtant me blesser. À chaque morsure, je tente de refermer ma fente et de crisper mes muscles mais je n’y parviens pas. Cette torture que j’accepte, je l’appelle de tous mes sens tant elle m’envoûte.
Les mains de Catherine me pétrissent allègrement tandis que sa langue est maintenant sur mon orifice et, ...
... après un premier assaut, je m’abandonne, comblé intérieurement par cette caresse surprenante et éblouissante. Les coups de langue humides s’attaquent aux contreforts de mon anus. Elle les lèche, elle les mouille, elle les trempe de sa salive qui anesthésie mes résistances. Ont-ils bon goût ? Elle ne me le dira pas, elle souhaite garder jalousement ce secret pour elle seule. Elle le contemple encore. Elle détaille ma caverne sombre et mystérieuse. Elle en scrute les plis et tous leurs mouvements plus ou moins saccadés, les crispations à peine perceptibles, les relâchements prometteurs. Mon anus s’entrebâille un peu, puis de plus en plus avant de se contracter très fort, marquant un signe de refus. Refus peut-être d’être ainsi exposé, lui qui sûrement préfère la discrétion, refus d’être trop vite deviné même s’il y a en moi le désir qu’elle poursuive sa conquête sans tarder. Mon orifice par ses contractions répétées la tente, l’appâte. Il lui tend un piège érotique. Il sait que les instants qui vont suivre le conduiront au-delà de ce qu’il a vécu, de mes doigts pas toujours doux, de tous ces objets que j’introduis parfois en lui, timidement.
Une chaleur étrange envahit toute ma raie des fesses et mon œillet se couvre de rosée. C’est cela, sa bouche vient de se plaquer tout autour de mon ouverture qui hésite entre réjouissance et effroi. Sa langue se montre aussitôt curieuse et impatiente. Elle s’insinue dans tous les replis, aucun ne lui échappe, ils sont à sa merci. Pourtant ...