Marianne
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
fsodo,
journal,
Auteur: M&M, Source: Revebebe
... bien de Pierre n’est-ce pas ? Au mois de juin il aura fini ses cours. Trouve un prétexte, dis-lui que je dois partir seul, en mer par exemple, ainsi tu n’auras pas même la nécessité de me téléphoner, et que tu es donc libre de passer un mois ou plus avec lui, en amoureux où il voudra.
Je me suis tu, effrayé de mes propres paroles, mais elle s’est redressée, se séparant de mon sexe toujours dur en elle, m’a fait face et m’a dit :
— Marc, m’aimeras-tu toujours quoiqu’il arrive ?
Et comme j’acquiesçais :
— Prends-moi partout, voici une semaine qu’il ne m’a pas fait l’amour, la voie est libre, viens dans ma bouche, viens dans mon vagin, sodomise-moi, faisons l’amour toute la nuit.
Mon émotion était telle que je n’ai pas failli à son programme et nous nous sommes endormis tôt le matin, mon sexe encore dur dans son anus.
Pierre fut d’accord ! Avec Marianne nous avons préparé fiévreusement son départ. Nous avons choisi ses tenues, j’ai voulu qu’elle emporte le costume de bain que je lui avais offert. Nous avons ensemble acheté une petite robe noire très chic dont le haut collait à son corps et le bas s’évasait, largement au-dessus des genoux. Le décolleté couvrait à peine les épaules et lui permettait de porter un collier en or offert le jour de notre mariage. Malgré mon angoisse, nous avons ri comme des enfants préparant une fête. Deux semaines avant son départ, je n’ai plus voulu lui faire l’amour autrement qu’en caressant ses seins. Chaque fois ses yeux ...
... cherchaient les miens pour me demander de ne pas être triste et quémander mon encouragement. La veille de son départ elle m’a demandé :
— Je peux faire tout ce que je voudrai pour lui plaire ? Tu me reprendras toujours et tu me referas l’amour comme avant ?
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J’ai vécu un mois sans Marianne, c’était notre plus longue séparation. J’errais un peu comme une âme en peine. Pourtant, le soir, lorsque je l’imaginais avec son amant, peut-être en train de la faire jouir ou sortant avec lui dans une de ses tenues affolantes ou sur la plage dans son maillot écru, j’étais plus excité que jaloux et mon sexe se dressait comme jamais. Il me fallut beaucoup d’énergie pour ne pas me caresser, car j’aimais cette excitation que Marianne me procurait de loin. Le savait-elle ? J’ai attendu de ses nouvelles encore trois semaines de plus.
J’étais désespéré et ne savais que faire. Puis j’ai reçu d’elle un gros courrier envoyé depuis chez ses parents : une lettre dans laquelle elle me demandait d’être patient, elle m’aimait encore plus qu’avant. Il lui avait fallu se réfugier quinze jours chez ses parents, dans sa chambre de jeune fille pour retrouver tout son équilibre. Etait-elle toujours celle que j’aimais ? Tout au long de cette année, elle avait écrit une sorte de journal qu’elle m’adressait et me demandait de le lire avant de lui écrire. Je n’ai pas ouvert son journal. À l’instant même sans rien dire à Marianne, je prenais le TGV pour Paris puis le train pour Cherbourg… ...