1. Marianne


    Datte: 29/03/2018, Catégories: fh, hplusag, cocus, profélève, fsodo, journal, Auteur: M&M, Source: Revebebe

    ... émouvantes.
    
    — Elle était si émouvante en racontant ce petit conte absurde devant ces quelques hommes en plein désert. Moi, je voudrais avoir un amant et garder ton amour.
    
    En disant cela son corps s’était mis à trembler et je la sentais très excitée à cette idée. J’avoue que parfois, dans mon imagination, je voyais Marianne partagée entre deux hommes mais je ne lui en avais jamais parlé, et je n’étais pas sûr moi-même de le désirer. Pourtant je savais qu’elle aurait été capable de satisfaire deux garçons à la fois. Mon cœur battait la chamade : était-elle prête pour une telle expérience ? Toujours enfoui à l’intérieur de son corps et, avec mille précautions, j’ai essayé de lui expliquer que si elle avait un amant, je ne cesserais jamais de l’aimer, au contraire, cela m’exciterait. Mais je voudrais deux choses :
    
    * Que ce soit avant tout un véritable amant, pas une occasion de simplement faire une expérience excitante. Un amant qui la conquiert et à qui elle s’abandonne corps et âme dans le secret.
    
    * Plus difficile, je lui demandais de ne pas nous mélanger en elle. Si son amant prenait son vagin, je me contenterais de la sodomiser ou l’inverse. S’il prend ses deux orifices, je ne viendrai que dans sa bouche.
    
    Pendant que je parlais, son corps m’informait de son émotion en me serrant parfois convulsivement au fond de son anus, comme si elle avait de petits orgasmes. Elle ne s’était pas récriée à mes paroles, mais s’était blottie encore plus fort contre moi. Ses ...
    ... mains ont enserré les miennes sur ses seins. J’ai laissé dépasser ses tétons pour qu’elle les effleure elle-même. Elle s’est endormie brusquement. Je suis resté longtemps éveillé, toujours raide en elle. Mon esprit tournait à toute vitesse et lorsque je l’ai imaginée prise par son amant, j’ai joui profondément, mais calmement et je me suis déversé en longues giclées au fond de son rectum.
    
    En m’éveillant, le lendemain matin, j’ai pris conscience que, la veille, Marianne n’avait pas joui. Elle était allongée sur le dos, toujours nue et souriait aux anges dans son sommeil. Je me suis penché sur elle et j’ai longuement caressé son corps offert. Les pointes de ses seins se sont aussitôt dressées. Elles étaient d’un rose délicat et mangeaient toute l’aréole si petite. Dans cette position, elles étaient seules à émerger de son corps. Pourquoi ses seins aussi minuscules m’émouvaient-ils tant ?
    
    Tandis que je la contemplais, elle a ouvert un instant les yeux et ce qu’elle a lu dans les miens a dû la satisfaire, car elle les a refermés dans un soupir de bien-être. Alors, je me suis appliqué à lui donner tendrement plein de plaisir par mes mains, ma bouche et, pour finir, avec mon sexe dans son vagin puis, en la sodomisant comme pour achever nos gestes de la veille. Ce fut fou, pour elle et pour moi. Par la suite, nous n’avons jamais évoqué nos paroles de la nuit. Nous aurions pu croire avoir rêvé et cependant cet anniversaire est resté dans nos mémoires et nous le savions l’un et ...
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