Marianne
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
fsodo,
journal,
Auteur: M&M, Source: Revebebe
... doucement mais fermement vers son anus.
— Viens, a-t-elle dit, je savais que tu aimerais me sodomiser en ce jour de fête, alors depuis huit jours je m’y suis préparée, c’est mon cadeau.
Pendant un mois, elle m’a refusé son vagin et j’ai retrouvé avec plaisir les longs et puissants orgasmes que lui provoquait l’amour anal. Ils montaient lentement et progressivement et je voyais son corps se transformer comme si une houle l’emportait. Son amant avait-il su la rendre aussi heureuse ?
Puis, de nouveau, cette entrée me fut interdite. Cela ne nous empêcha pas de nous aimer joyeusement. Cependant, il m’a semblé que, depuis quelque temps, Marianne était plus tendue, moins heureuse. Un soir, elle était allongée sur le dos et j’avais mon sexe fiché dans son vagin. Je m’étais allongé au-dessus d’elle et je la contemplais. Pour la première fois, elle a évoqué son amant, comme si j’avais été au courant de ses « infidélités » depuis le début :
— Marc ! Mon amant voudrait que je sois tout entière à lui, il voudrait que je te quitte. J’étais si heureuse partagée entre vous deux. Pourquoi fait-il cela ? Est-ce vraiment impossible de se partager la même femme ?
Un long silence s’est établi entre nous. Que lui dire ? J’étais désemparé, l’amour n’était pas fait pour la rendre malheureuse, et c’est, sans réfléchir, que je lui ai demandé si elle l’aimait d’amour, lui. Sa réponse fusa :
— Oui, je ne voudrais pas le perdre, ni comme amant, ni surtout comme ami et professeur. Je ...
... crois que j’ai fait une grosse bêtise en me donnant à lui. Maintenant tout est compliqué. Et cependant il m’a donné tant de plaisir et je crois que moi aussi je lui en ai donné.
Ces mots me faisaient mal mais je n’avais à m’en prendre qu’à moi-même. Ne l’avais-je pas poussée dans cette direction, elle qui n’avait connu que moi. Et à présent, je la sentais malheureuse, car je ne doutais pas qu’elle m’aimait profondément, ses non-dits criaient plus fort que ses paroles. J’ai, de ma main libre, effleuré ses seins. Elle a souri avec émotion, a fermé les yeux et est entrée dans un long orgasme. Après être revenue à elle, je l’ai entendue chuchoter ces mots énigmatiques :
— Merci, mon Marc. Ils sont petits, mais ils existent et tu sais combien ils aiment être caressés.
Ses seins ! Je les aimais comme un fou, ils me fascinaient et j’étais toujours ému lorsque d’autres pouvaient les apercevoir. Plus plats que ceux d’un garçon, c’était pourtant des seins de fille avec cette douceur et cette blancheur de peau si particulière, cette souplesse que l’on découvrait sous les doigts, les petites aréoles roses qui disparaissaient lorsque les pointes durcissaient. Et puis, ils étaient souvent responsables de petits orgasmes que Marianne qualifiait de délicieux. Tandis que mes pensées ne quittaient pas ses seins, je m’entendis prononcer ces paroles, terribles pour moi, car je risquais de la perdre :
— Marianne, mon amour, tu dois aller au bout de ton amour pour Pierre, car il s’agit ...