Marianne
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
fsodo,
journal,
Auteur: M&M, Source: Revebebe
TROIS EST-IL UN NOMBRE POSSIBLE ?
Ce récit, en partie fantasmé, en grande partie véridique, comporte deux parties (pour l’instant) :
Le récit de Marc : Marianne
Extraits du journal de Marianne
Première partie : Marianne
C’était le deuxième anniversaire de notre mariage. J’avais 30 ans et de nombreuses expériences sexuelles avant notre mariage. Marianne, à vingt ans, faisait une thèse de chimie. C’était une fille ravissante, avec sa queue de cheval blonde qui virevoltait au gré de sa vivacité, ses yeux vert d’eau où l’on se perdait, son visage ovale avec des traits fins et sa peau qui appelait la caresse. Elle avait surtout de tous petits seins, vraiment minuscules, qui la dispensaient de porter quoi que ce soit sous ses tee-shirts et qui avaient aussi l’avantage de laisser poindre des petites pointes agressives à la moindre occasion. C’était très excitant. Un délice au lit et elle s’était laissée entraîner aux jeux de l’amour avec énergie et gourmandise.
Ce soir-là, nous avions dîné dans un petit restaurant chinois tenu par le père de l’une de ses amies. Il nous avait gâtés avec beaucoup d’attention et de délicatesse. Marianne portait la tenue que je lui avais offerte à cette occasion : une simple robe, couleur de ses yeux, en tissu fin, très ajustée en haut et évasée en bas, finissant au-dessus des genoux. Elle était émouvante et, cela je le lisais dans les yeux de ceux que nous croisions. Après le repas, au gré de nos pérégrinations, nous étions entrés ...
... dans un cinéma où l’on donnait « Le patient Anglais », un film admirable dans lequel Christine Scott-Thomas jouait le rôle d’une amoureuse aux grands yeux étonnés et qui nous avait fortement émus l’un et l’autre.
Rentrés chez nous, nous nous sommes vite retrouvés enlacés, nus dans notre lit et pleins de désir. Nos corps se sont caressés longuement. Puis, je me suis vidé dans sa gorge ou plutôt, Marianne m’a vidé dans sa gorge (c’était la première fois, cadeau d’anniversaire !) après une longue fellation. J’étais tellement excité que je n’ai pas débandé. Je voulais aussi la sodomiser en souvenir de notre premier anniversaire où elle m’avait offert son anus en cadeau. Depuis un an, nous pratiquions parfois la sodomie, à chaque fête surtout, et son corps avait appris à en jouir violemment. Nous étions couchés sur le côté et, comme si elle avait compris mon désir, m’avait tourné le dos. Mon sexe encore humide de sa bouche avait pénétré lentement son anus. C’est alors qu’elle me demanda :
— Viens au fond de moi et ne bouge plus, je voudrais m’endormir avec toi en moi et te garder longtemps.
Mon sexe était enserré dans son anus et, de mes mains, j’effleurais ses petits seins dont les bouts étaient durs comme du bois. Elle poursuivit :
— Pourquoi son mari n’a-t-il pas accepté qu’elle couche avec son amant ? Elle aurait été si heureuse !
Je savais qu’elle parlait de Christine Scott-Thomas dans le film, car au même instant je repassais dans mon esprit les scènes les plus ...