Marianne
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
fsodo,
journal,
Auteur: M&M, Source: Revebebe
... à connaître le nom, Pierre, un professeur de la fac avec qui elle avait eu à travailler pour un aspect de sa thèse et qui avait été "particulièrement satisfait du travail de cette étudiante intelligente et vive". Huit mois au cours desquels il me fut interdit de la sodomiser. Cela ne me traumatisait pas, son corps recelait tant de trésors. La sodomie était pour nous un surcroît d’émotion, simplement. Je savais qu’elle serait sodomisée chaque fois qu’elle ferait l’amour avec son amant et cette idée m’excitait. Je me prenais parfois à regarder son anus, il me semblait qu’il s’assouplissait, qu’il restait souvent très légèrement ouvert. Pendant ses périodes fécondes, je jouissais dans sa gorge.
Nous avions en effet décidé en commun qu’elle ne prendrait pas la pilule et moi, je détestais les préservatifs. Marianne utilisait maintes astuces pour me cacher sa liaison, trouvant des prétextes pour rentrer plus tard le soir, s’absenter parfois la nuit. C’était en vain, car chaque fois qu’elle revenait des bras de son amant, elle était plus heureuse, rieuse et…amoureuse.
Une semaine avant notre troisième anniversaire de mariage (l’avait-elle oublié me suis-je un instant demandé) elle est partie brusquement plusieurs jours à Porto pour un Congrès où elle devait présenter certains travaux avec Pierre. Avant de partir, elle m’avait fait promettre de lui téléphoner à son hôtel tous les jours et on avait convenu que ce serait le matin vers six heures.
— Tu seras mon premier sourire ...
... du matin, avait-t-elle conclu.
Je ne sais si je fus réellement toujours le premier mais, pour moi, elle fut ma joie du matin tant ses paroles étaient douces et amoureuses, transmises par une voix parfois encore ensommeillée ou tout excitée. En l’entendant, mon sexe durcissait brusquement. Je me demandais si elle était seule ou si Pierre la caressait pendant qu’elle téléphonait. À son retour, lorsque je suis allé la chercher à l’aéroport, elle était avec Pierre qu’elle m’a présenté comme si de rien n’était :
— Un de mes professeurs de thèse, nous avons présenté ensemble les résultats de nos travaux.
Et se tournant vers lui :
— Mon mari ! Sais-tu que la première fois que Pierre t’a vu, à la gare, il a cru que j’étais ta fille ? Ce n’était pas flatteur pour moi, je passais pour une petite-fille !
Nous avons ri ensemble et nous nous sommes séparés. De notre anniversaire de mariage, elle ne dit rien jusqu’au soir. L’été approchant, je lui avais acheté un très joli costume de bain deux pièces en filet de couleur écrue. Elle l’avait essayé. La pointe de ses seins passait presque au travers la dentelle du haut réduit à une bande plate. Elle s’est admirée dans la glace en me disant d’un air mystérieux qu’elle aussi avait une surprise pour moi. Après notre dîner en tête-à-tête, nous faisions l’amour lentement et elle avait déjà joui plusieurs fois sous mes caresses, Alors que je m’apprêtais à la pénétrer à la missionnaire, elle a pris mon sexe dans sa main et l’a dirigé ...