Marianne
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
fsodo,
journal,
Auteur: M&M, Source: Revebebe
... coup de poing au ventre. Plus tard, j’ai pris conscience que c’était pour moi presque plus important que de savoir qu’elle s’était probablement donnée tout entière. Je n’étais pas jaloux, simplement ému de les contempler de nouveau : avaient-ils changés d’avoir été caressés par un autre ? Elle avait passé ses mains dans son dos pour serrer mon sexe dur dans mon pantalon tandis que mes mains passaient de son visage à ses épaules, à ses seins toujours durcis, à son ventre plat, à sa toison blonde et discrète et au haut de ses jambes, recevant la douceur de sa peau fine et merveilleusement colorée. J’avais un immense besoin de la prendre en la regardant, je voulais lire sur son visage toutes ses émotions.
Alors je l’ai soulevée et transportée sur la table de notre chambre recouverte d’un tapis sombre. Son corps faisait comme une tâche de lumière. Lentement, en la contemplant, je me suis déshabillé et placé en face d’elle en soulevant ses jambes par-dessus mes épaules. Elle était offerte. J’ai pris ses mains pour qu’elle tienne ses genoux et je me suis penché pour embrasser ses jambes et venir lentement vers son sexe. Sous mes caresses, elle ronronnait doucement et commençait à onduler. Lorsque ma langue est passée vers son anus le ronronnement s’est arrêté et j’ai senti comme une attente de sa part. J’ai su que, discrètement, elle me faisait comprendre que cette entrée m’était devenue interdite. Cela lui arrivait rarement. Son amant l’avait-elle déjà sodomisée ? A cette ...
... idée, mon sexe s’est encore durci davantage et je n’avais plus qu’une envie : la pénétrer et la faire jouir tout son soul. Son sexe m’a accueilli, (lui ne m’était pas interdit !), tandis qu’elle poussait un soupir de soulagement.
Je suis sorti d’elle un instant et, de mon sexe, j’ai caressé son clitoris et ses lèvres tout en la contemplant. Elle gardait les yeux ouverts, mais comme voilés. Ses tétons étaient dressés et avaient mangé toutes les aréoles. Un instant, j’ai lâché mon sexe contre le sien pour prendre ses deux mains et les conduire vers ses seins et la forcer à les caresser doucement, comme tout à l’heure mes mains l’avaient fait devant la glace. Elle avait maintenu un instant ses jambes relevées avant que moi-même je les soutienne. En me reculant légèrement, mon sexe a glissé lentement vers son anus et, de nouveau, j’ai ressenti chez elle cette hésitation et ses yeux se sont remplis d’inquiétude. Je le savais, maintenant ! Marianne s’était donnée à son amant, probablement cet homme aperçu à la gare, et lui, l’avait sodomisée sans prendre son vagin. (Les jours suivants, elle eût la même attitude qui a confirmé mon impression). J’ai remonté mon sexe contre le sien et je l’ai pénétrée brusquement. Elle a eu un sursaut et un orgasme foudroyant. Mon sexe, enserré en elle, ressentait les convulsions de son corps. C’était merveilleux.
Huit mois ! Cette situation a duré huit mois pendant lesquels Marianne se partageait entre moi et son amant dont j’ai par ailleurs appris ...