Je t'aimerai toujours
Datte: 24/02/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
Transexuels
pénétratio,
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... Dame Heline.
— Misérable créature ! rugit la première conseillère en me repoussant vers le fond de la banquette, m’écartant des fesses que j’assaillais de nouveau.
— Eeeh ! Mais…
— Cela ne te suffit pas d’avoir déjà tué Mazela ?
Attrapant ensuite le bras de notre partenaire hermaphrodite, elle la tira vers elle pour l’extirper du corps d’Alys.
— Tu ne comprends donc pas, Heline ? Nous allons y passer les unes après les autres !
— Elle ne craint rien si elle reste avec nous, répliquai-je.
L’interpellée se laissa entraîner à quelques mètres, sans réagir. Elle semblait comme un pantin sans volonté. Sa verge encore gonflée pendait au milieu de son beau corps nu, tandis qu’elle ne quittait pas du regard celui de son ancienne servante.
— Tiens, remets ça, vite ! bredouilla l’autre conseillère qui s’était penchée pour ramasser la toge rouge que nous avions abandonnée par terre.
Elles la lui enfilèrent, et l’entraînèrent en hâte jusque vers la sortie de l’appartement, où deux surveillantes armées les attendaient.
— Arrêtez ! cria Alys en se redressant. Je vous assure que vous vous trompez !
La porte claqua. Je soupirai.
— Bah, laisse tomber.
Elle tourna vers moi ses grands yeux verts inquiets.
— Ne t’en fais pas, nous ne craignons rien.
Me rapprochant d’elle à genoux, je lui déposai un tendre baiser. Elle se serra dans mes bras.
— Tu crois ?
— Bah, nous verrons bien… De toute façon, nous sommes toujours coincés là…
Elle me sourit lorsque ...
... je la guidai pour l’allonger de nouveau sur la banquette. Elle écarta les cuisses et je me faufilai entre ses jambes, me penchant par-dessus son corps pour m’appuyer sur le canapé. J’avais perdu un peu de vigueur dans la bataille, mais d’effleurer de ma langue les tétons durcis de ses seins gonflés, de sentir ses mains caresser mes épaules et ma tête, de deviner son souffle chaud sur mon front… je retrouvai rapidement ma pleine robustesse, et ma compagne gémit d’un profond soupir d’extase au moment où j’entrai en elle.
***
— Chut ! Écoute.
Nous étions toujours en train de faire l’amour, nous n’avions même pas changé de position.
— Qu’y a-t-il ?
— Dehors, écoute…
Alys avait raison, des cris et des bruits de pas et de chocs métalliques. On se battait à l’extérieur. Sans doute pas très loin.
— J’ai peur, Johan.
Je l’embrassai à pleine bouche. Moi aussi, j’avais un peu peur, mais… si c’était comme l’avaient dit les Patriciennes, nous ne craignions effectivement rien. Et puis, de toute façon, que pouvions-nous faire ? Lutter seuls contre une armée ? Ma belle rouquine dut mener le même raisonnement, ou bien devina-t-elle mes pensées ?
— Si cela doit finir, autant que ce soit comme ça… murmura-t-elle en pressant mes fesses pour m’encourager à reprendre mes va-et-vient. Inutile de réveiller les enfants.
Mais au bout de quelques secondes, la porte principale vola en éclats et une dizaine de personnes se ruèrent soudain dans la pièce. Des femmes, ou tout du ...