1. Je t'aimerai toujours


    Datte: 24/02/2020, Catégories: fh, ffh, couplus, Transexuels pénétratio, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents : J’ai complètement perdu la mémoire et me retrouve plongé dans un monde étrange peuplé d’hermaphrodites à l’allure féminine qui me considèrent comme dégénéré parce que pourvu d’un seul sexe. J’ai rencontré Alys, dégénérée comme moi, qui m’a offert un refuge temporaire chez sa maîtresse, Dame Heline. Mais les dégénérés mâles sont interdits en ville, et j’ai été capturé et enfermé dans la prison de Tal-Mania où j’ai fait la connaissance de Kalmin, un homme également prisonnier.Je suis bientôt tiré de là par Dame Heline, puis par Dame Mazela, qui me « louent » pour égayer des soirées bourgeoises, au cours desquelles je suis drogué d’une potion de vigueur. Découvrant l’état déplorable dans lequel le poison m’a plongé, ma belle Alys devient folle et tue Mazela. Elle est alors emprisonnée à son tour à Tal-Mania, condamnée à mort.Mais profitant de la mutinerie désespérée des détenus menée par Kalmin, je réussis à libérer Alys et nous nous enfuyons par le conduit d’évacuation des eaux usées dont la grille a été descellée par les révoltés. Nous découvrons un monde étrange, plongé dans la plus sombre obscurité, où nous recueillent quelques hommes et femmes perdus sous terre.Mais la perspective d’agoniser à leurs côtés nous terrorise et nous suivons avec effroi le cours de la rivière souterraine, pour enfin retrouver la lumière et constater que nous sommes parvenus presque au bord de la mer. Nos pas nous mènent jusqu’à une ville en ruine, et des bribes de ...
    ... ma mémoire resurgissent lorsque nous y entrons : c’est de là que je suis originaire ; j’étais un scientifique, prêt à des expériences sur le temps, qui m’ont hélas conduit des siècles plus tard, jusque dans le monde d’Alys.Alors que nous errons dans la cité, nous sommes assaillis par quelques hommes, réfugiés comme nous, mais avides d’une présence féminine et excités par celle de ma compagne. Nous devons combattre, mais parvenons à nous enfuir.Les jours passent ; Alys et moi vivons heureux au bord de la mer. Elle est enceinte, et donne finalement le monde à des jumeaux, que nous baptisons Alphya et Jilon. Mais vers l’âge de quatorze mois, les enfants tombent malades, et nous n’avons d’autre solution que de rejoindre Avila, la ville dont Alys et moi nous sommes évadés. Les habitantes et les Patriciennes sont divisées, certaines voyant en nous ceux qui réalisent une ancienne prophétie, d’autres nous considérant toujours comme dégénérés et condamnés à mort. Nous sommes finalement enfermés au sein du palais du Conseil.(Voir récits n°16432,16444,16452,16473,16497,16512 et16527.)
    
    ***
    
    Cette fois, la prison était dorée. Nous disposions d’un grand appartement dans une aile du palais : une vaste et agréable pièce à vivre, une chambre spacieuse pour Alys et moi, une autre pour nos enfants, pour qui l’on apporta de petits lits à barreaux. Des fenêtres qui donnaient sur les immeubles aux couleurs changeantes des beaux quartiers d’Avila. Mais six surveillantes en armes se relayaient ...
«1234...11»