Festivités
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
fouetfesse,
init,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Une porte verrouillée, un tout petit couloir sombre puis une pièce si lumineuse qu’elle en plisse les yeux. Elle découvre alors une sorte de très grand atelier plein de verrières, comme une serre ou un jardin d’hiver. Madame s’avance au centre de la pièce, ses yeux s’habituent à tant de luminosité, des toiles trônent ci et là, un grand lit aux draps blancs, immaculés.
— C’est… c’est impressionnant ! finit-elle par dire.
— Merci, j’avoue que ce n’est pas usuel…
— C’est même assez… fascinant ! Je n’aurais jamais imaginé que cette demeure puisse avoir un vaste atelier si lumineux.
— Facile quand il suffit de remplacer un pan de toiture par du verre et qu’on a les moyens financiers qui vont avec. Ceci étant, je suis fier du résultat, vous êtes l’une des rares personnes à connaître cet endroit ; même mes voisins ignorent que cette partie du toit est transparente !
— Je vous remercie de votre confiance !
Elle regarde le ciel au-dessus de sa tête, la charpente mise à nue et en valeur, ces poutres massives, ce verre si fin, ce mélange d’art et de technologie. Puis elle baisse la tête à la recherche des toiles. Il y en a quelques unes qui lui tournent le dos, adossées à divers chevalets, des grandes, des très grandes même. Elle avise la peinture la plus proche, la contourne et découvre, étonnée, un immense fessier de trois mètres sur deux. L’effet est impressionnant de réalisme : s’il n’y avait pas ci et là des coups de brosse, elle pourrait jurer qu’il s’agit d’un ...
... agrandissement photographique. Quelque chose la trouble mais elle n’arrive pas à préciser quoi. Elle recule un peu pour mieux englober la scène ; décidément, ce peintre est très doué dans le réalisme ! Madame tourne la tête vers son hôte qui s’approche d’elle, lui désignant d’autres toiles à découvrir.
Madame contemple alors, toujours aussi grandes, d’autres fesses et culs tout aussi réalistes et géants. Le traitement pictural est sans défaut, sauf ci et là quelques zébrures et autres régions picturales un peu étranges. Elle est agréablement surprise de la maîtrise technique du peintre qui est à ses côtés et aussi un peu intriguée par une vague sensation diffuse. Il se penche sur son épaule et lui demande :
— Votre avis ?
— Époustouflant ! Et j’oserais dire : excitant !
— Vraiment ? Vous ne me dites pas ça pour m’être agréable ?
— Non, du tout ! Sincèrement, c’est admirable ! Mais… euh…
— Oui ?
— Toutes vos toiles ne portent que sur un seul sujet ?
— Oui.
— Vous êtes fasciné par cette partie anatomique ?
— Pas tout à fait… pas tout à fait…
Madame regarde mieux les toiles, reste perplexe ; quelque chose la turlupine, la chagrine. Elle s’approche d’une peinture, l’examine mieux puis recule de six pas pour avoir un certain recul. Elle observe à nouveau la scène puis se décide à demander :
— Je ne comprends pas bien quelque chose…
— Dites donc…
— Voilà : vos toiles sont sublimes, elles sont quasi photographiques, vous avez une merveilleuse technique à la brosse mais ...