Festivités
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
fouetfesse,
init,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... pourquoi diantre ces zébrures et ces zones curieuses ?
— Vous mettez le doigt sur la spécificité de toutes ces toiles… sur le thème réel…
— Ah bon ? Lequel ?
— Devinez !
Il s’éloigne un peu, écarte les bras, désignant ainsi toutes les toiles exposées. Il pivote, balayant l’espace puis vient se planter à côté d’un chevalet. Il sourit et redit simplement :
— Devinez !
Quelque chose inquiète Madame, un long frisson délicieux lui court le long du dos. Elle avise une autre peinture, un autre fessier voluptueux, toujours aussi réaliste. Elle a pu constater durant l’examen des toiles qu’il y avait vraisemblablement deux modèles qui avaient posé : les croupes incendiaires peintes pouvaient être visiblement groupées en deux topologies distinctes.
— Devinez !
Des fessiers ici, des croupes là et toujours ces zébrures, ces taches étranges. Madame a le tournis, elle regarde ses pieds, les lames du plancher vernis, des zébrures. Elle regarde ensuite en l’air vers la verrière zébrée de poutres. Zébrures, rayures, griffes, cinglures… Cinglures ?
— Fessées ?
Madame écarquille les yeux, ses doigts fins devant sa bouche. Comment diantre cela est-il possible ? Surtout venant d’un homme si bien, si cultivé, si…
— Deviné !
Il s’approche un peu d’elle ; instinctivement, elle recule d’un pas, le regarde fixement, interloquée, une sourde angoisse monte en elle mais aussi un long frisson excitant. Sa bouche est sèche mais elle articule quand même :
— C’est une… un… ...
... une vue de l’esprit ? Une chose imaginée ?
— Je peins toujours d’après nature.
— D’après nature ? Vous voulez dire que…
— Oui, je veux dire que c’est effectivement après une petite séance de ce que vous avez parfaitement compris, avec des modèles consentants, mes amies, pour être plus précis.
— Et elles étaient… enfin, elles…
— Oui, elles aimaient cela, les fessées et d’être peintes, de figurer ainsi sur ces toiles de façon si réaliste et si idéalisée aussi.
— Ah…
Madame est perdue : comment peut-on aimer être fessée, accepter cette punition, cette humiliation et surtout de voir ces turpitudes étalées sur ces toiles si grandes ? Impensable, inconcevable mais pourtant si excitant !
Un doute l’assaille :
— Pourquoi m’avez-vous amenée ici ?
— N’est-ce point vous qui désiriez voir mes toiles ?
— Si mais, jamais, je n’aurais imaginé que…
— Pourtant, si c’avait été de simples nus, qu’auriez-vous dit ?
— Des nus, soit, surtout que vous avez une belle technique, si réaliste, si personnelle aussi…
— Merci, vos compliments me vont droit au cœur ! dit-il, franchement.
— Ils sont sincères…
— Je sais, je commence à avoir une assez bonne idée de votre agréable personne…
Madame rougit, elle aime bien cette façon de parler d’elle, posément, aisément. Des pensées confuses tournent dans son esprit. Que cherche exactement cet homme qui la trouble ? Que croit-il à son sujet ?
— Ah ? Et quelle idée avez-vous de mon « agréable personne », comme vous dites ?
— Celle d’une ...