1. Valérie


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, jeunes, oncletante, alliance, amour, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, fouetfesse, init, amourcach, fsoumisah, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... Quelques minutes après je lui ouvre ma porte, on s’embrasse chastement puis nous voilà installés au salon, un verre à la main. Après une banalité ou deux, elle en vient à l’objet de sa visite :
    
    — Est-ce que Valérie te parle de moi ?
    — C’est bien rare, mais elle me donne l’impression d’être heureuse avec sa mère.
    — Ça ne m’étonne pas. J’ai eu du mal avec elle à une certaine époque, mais elle a changé peu à peu d’attitude à mon égard, et maintenant nos relations sont très affectueuses, elle me confie beaucoup de choses…
    — Ah ! Et quel genre de choses, par exemple ?
    — Eh bien, par exemple, qu’elle te rend visite pour se faire fesser…
    — Ah… et ensuite ?
    — Oh, ensuite, rien… enfin, je veux dire, elle est majeure elle fait ce qu’elle veut, si elle prend son pied de cette manière, cela ne me regarde pas… Mais…
    — Mais ? …Marithé, je te sens embarrassée, il faut peut-être que je te dise une chose : j’ai énormément d’affection pour toi, je te respecte infiniment au point de n’avoir pas eu le courage de te dire tout ce que tu m’inspires, mais enfin s’il y a une chose sûre, c’est que tu peux compter sur moi pour quoi que ce soit.
    
    Elle est rouge comme une pivoine. Elle tente de s’expliquer mais cela lui coute visiblement :
    
    — Écoute, je te disais que je n’ai pas le droit de la critiquer, ni de l’approuver, mais j’ai le droit de l’envier…
    
    Je reste comme un con, interdit, essayant de comprendre ce qu’elle vient d’exprimer et qui, pourtant est bien clair : elle envie sa ...
    ... fille qui vient me voir pour recevoir une fessée. Un long silence pénible s’est installé ; je finis par me décider, me lève et vais m’installer à sa hauteur, à genoux devant Marithé, qui cache son visage dans ses mains.
    
    — Je doute encore d’avoir bien compris. Tu souhaites que je te fesse ? Tu sais, je te l’ai dit, je suis ton serviteur, plus encore. Tu n’as qu’à te lever, venir près de moi, et nous ferons, je ferai exactement ce que tu veux…
    — Tu n’y es pas, c’est plus compliqué que ça, dit-elle d’une voix enrouée, ce dont je rêve depuis mon adolescence, c’est de me trouver soumise à un homme qui me punit…
    — Mais qui te punit de quoi ?
    — De rien, de ce que tu veux, tu peux prendre n’importe quel prétexte, peu m’importe, j’ai à la fois un immense désir d’être couchée sur tes genoux et punie, en même temps qu’une immense honte que tu me déculottes et une énorme trouille d’avoir mal aux fesses…
    
    Je me redresse, et, debout, je me compose un visage sévère, la voix froide et coupante :
    
    — Levez-vous, Madame, s’il vous plaît.
    
    Elle ôte enfin ses mains de ses yeux et se lève, elle est rouge, elle a pleuré de honte. Je la prends par la main et l’emmène dans ma chambre. Je m’assois au pied du lit, au coin, et l’attire sur mes cuisses de telle sorte que le haut de son corps repose sur le lit, à ma gauche. Elle porte une ample robe de toile dont je relève la jupe. Sa petite culotte est une adorable et ridicule chose de voile et de dentelles qui laisse nues la moitié de ses ...
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