Valérie - Histoires de Sexe

Valérie

Je m’appelle Frédéric, je suis un vieux garçon un peu libertin, qu’aucune femme n’a encore réussi à cramponner. J’ai une nièce, fille de mon frère tué en Afghanistan. J’adore ma nièce qui me le rend bien. J’ai aussi beaucoup d’affection pour ma belle-sœur, Marie-Thérèse femme très séduisante, mais nous n’avons jamais flirté jusqu’ici.En ce mercredi de septembre, je déguste mon café d’après déjeuner lorsque tintinnabule la sonnette d’entrée. C’est ma nièce Valérie qui jette ses bras autour de mon cou à peine la porte ouverte :— Bonjour mon tonton préféré, et elle me plaque deux bises sonores.— Bonjour ma puce, entre vite. Comment vas-tu ?— Heu… moyen.— Allons, bon ! Que t’arrive-t-il ? Viens me raconter cela du temps que je finisse mon café qui refroidit. Et dis-moi, pourquoi ne t’es-tu pas annoncée d’un coup de fil, j’aurais pu être absent ?— Ben justement, c’est pour ça que je viens te voir, j’ai plus de forfait, et maman ne veut rien savoir…— Ah ! Je vois ! C’est pas Tonton que tu préfères, c’est sa carte bleue !— Si tu le prends comme ça, c’est bon, je m’en vais, dit-elle en se levant.— Veux-tu changer de style tout de suite, espèce de chipie, ou bien préfèrerais-tu que je te flanque une fessée ?— Hum… Tu me renfloues d’abord mon forfait et ensuite, je ne dis pas non…Là, elle m’a coupé la chique ! Je la dévisage, les yeux comme des soucoupes, je ne peux empêcher des images de s’imposer à mon esprit, images de celles de mes maitresses qui m’ont complaisamment offert leur ...

... postérieur pour des jeux érotiques plus ou moins claquants, et je culpabilise aussitôt, mais elle insiste :— Tonton, s’il te plaît, donne-moi la fessée…Les bras autour de mon cou, la joue appuyée sur ma poitrine ; je sens même ses tout petits seins, enserrés dans son tout petit soutien-gorge, et ça ne m’aide pas à décider sereinement, mais c’est elle qui décide, en petit bout de femme qui déjà mène les hommes qui l’aiment par le bout du nez :— Je la mérite, tu sais, j’ai été vilaine avec maman, je lui ai dit des méchancetés…— Et que lui as-tu dit, par exemple ? lui fais-je pour gagner du temps.— Oh écoute, je ne m’en souviens pas bien, mais ce qui est sûr c’est que je mérite d’être punie…— Et ta mère est incapable de te fesser quand tu le mérites ?— Non certes, mais cette fois-là j’ai filé trop vite pour qu’elle m’attrape…— Ah, je vois, tu fais le calcul qu’une fessée de tonton sera moins douloureuse ? Bien, commençons par remettre ton forfait sur les rails. Viens avec moi devant l’ordinateur.En quelques clics, le mal est réparé.— À présent, voyons la suite du programme.Je la prends par la main et l’entraine devant le canapé, où je m’installe en son milieu, puis :— Baisse ton jeans !Son visage s’empourpre mais elle s’exécute. Je la bascule sur mes cuisses. Sa culotte en coton blanc enveloppe complètement ses fesses. Je glisse mes pouces sous l’élastique, elle réagit vivement :— Non, non, pas ça, s’il te plaît !Je n’insiste pas. Je lève la main droite et claque doucement une ...