Valérie - Histoires de Sexe

Valérie

... redresser et l’installe debout devant moi, coincée entre mes genoux.

— Tu as très mal aux fesses ? Tu veux de la crème ?
— Oui, Tonton s’il te plaît.
— Allonge-toi sur le ventre, là.

Je m’en vais chercher le tube de Biafine puis reviens pour lui masser doucement les fesse avec.

— Écoute bien, maintenant, tu n’auras plus besoin d’inventer des bêtises, il suffira que tu me demandes tout simplement la fessée et tu l’auras comme tu la désires. Si tu ne m’avais pas énervé, je n’aurais pas tapé si fort ni si longtemps. Tu as eu mal, cette fois, non ?
— Oui… et sa voix est un peu étranglée.
— Mais est-ce que tu as eu du plaisir, quand même ?
— Non.
— Tu en es bien sûre ? Il me semble que ton string est tâché à l’entrejambe ? Je peux aller voir ? dis-je en passant mes pouces sous l’élastique.
— Non ! crie-t-elle.
— Tu vois, tu me mens encore, eh bien je me demande si je te pommade les fesses ou bien si je reprends la correction…

Elle éclate en sanglots. Je n’ajoute rien. J’ouvre le tube et entame le soin de son postérieur. Force m’est de constater que celui-ci s’est arrondi depuis ces quatre années. C’est maintenant un derrière de femme faite, et bien faite. Je masse doucement ces rondeurs fermes et tendres à la fois. Elle se laisse faire en soupirant et reniflant en même temps. Puis je la prends sur mes genoux pour un gros câlin. Je sais qu’elle me graisse mon jeans et me mouille de pleurs mon col de chemise ; tant pis, faut ce qu’il faut si je veux conserver ...

... sa confiance, même si je sais bien qu’il y a une part de comédie dans son comportement.

— Il est temps qu’on se parle franchement, tous les deux, tu veux bien ?
—(elle renifle) Oui, si tu veux…
— Tu es une femme, maintenant, tu n’es plus la petite fille à laquelle Tonton donnait la fessée pour la punir, tu es d’accord ? Il est clair que tu aimes que je te fesse, mais pas trop fort, parce que tu comptes en retirer un certain plaisir… C’est pas vrai ?
— Si…
— Alors on est d’accord. Je vais maintenant te proposer un marché, une convention entre nous. Premièrement, tu pourras me demander la fessée quand tu veux. Je te la donnerai sans discuter, et de la façon que tu aimeras le mieux. Mais, deuxièmement, je veux que tu te comportes comme une jeune femme correcte. Les strings, seulement sous les pantalons. Les petites jupes, obligatoirement avec une culotte qui couvre les fesses. Comme les joueuses de tennis, tu es d’accord ?

Elle opine du chef dans mon cou pour acquiescer. La suite des évènements montrera qu’elle respecte notre accord. Je la verrai souvent en jeans - avec un string ? Plus rarement en jupe, mais alors pudiquement - ou prudemment ? munie d’une culotte enveloppante, que je m’empresse de baisser lors des petites fessées qu’elle réclame de loin en loin.

Coup de téléphone de Marie-Thérèse, qui me demande si elle peut venir me voir. Je suis en train de bricoler sur ma bagnole, mais rien de très urgent, aussi je lui dis que ça me ferait vraiment plaisir. ...