Valérie
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
oncletante,
alliance,
amour,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fouetfesse,
init,
amourcach,
fsoumisah,
Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
... fesses. Je la lui laisse en place, pour l’instant, afin que le sentiment de honte s’installe bien, et je commence à fesser, sans violence. Après une douzaine de claques molles je baisse la culotte.
Elle a esquissé le geste de m’en empêcher et j’ai grondé « voulez-vous ! », elle a alors vivement retiré sa main, se résignant à subir la suite. Je descends la culotte sur les mollets, puis j’entame une franche fessée, alternant chaque globe, variant la cadence, redoublant ou même triplant sur la même fesse avant d’en faire autant sur sa jumelle. Le magnifique postérieur de ma belle-sœur passe du blanc au rose puis au rouge timide avant d’être bientôt rouge éclatant. Nous en sommes à quarante claques environ, à chaque impact son derrière fait un bond, elle me montre son abricot luisant, elle crie « aie ! » et sa voix qui tremble indique qu’elle n’est plus très loin des larmes. De fait, dix claques de plus et ce sont les gros sanglots. Je m’arrête aussitôt. Je caresse tendrement ce malheureux derrière corrigé :
— Est-ce que je continue ou bien cela suffit ?
— Non, plus de fessée, s’il vous plaît, dit-elle d’une voix noyée de larmes.
Je la relève et la recouche sur le ventre afin d’aller chercher la crème apaisante, puis de retour je pommade les fesses très rouges.
— Je vais préparer du café, je te laisse cuver ta fessée quelques instants.
— Où sont les toilettes ?
— Je t’y amène, lève-toi.
Je la débarrasse de ses chaussures, puis de sa culotte ; elle se laisse ...
... faire comme un bébé. Je l’accompagne à la salle de bains avec cabinet d’aisance, je lui laisse une serviette et un gant propres.
On se retrouve au salon devant un bon café chaud. Elle a enfilé mon peignoir blanc en éponge bien trop grand pour elle, elle s’est baigné le visage, elle n’a plus de maquillage et ça lui refait une jeunesse.
— Ne me regarde pas comme ça, je suis affreuse.
— Détrompe-toi, je te trouve très séduisante. Tu as eu des ennuis à la salle de bains ?
— Un peu, imagine-toi que la fessée m’a fait si peur que j’ai été prise d’une débâcle intestinale, dit-elle en rougissant un peu, ce qui explique que j’ai été un peu longue. En outre, mes chaussures et ma culotte sont dans ta chambre, ma robe et mon soutien-gorge sont dans la salle de bains, bref j’en sème partout…
— Dis-moi, j’espère que tu me feras des commentaires sur ma façon de fesser, mais j’ai eu l’impression que, de ton côté, tu n’avais pas beaucoup d’expérience, je me trompe ?
— Oh non, pas du tout, j’ai reçu la première fessée de ma vie il y a une demi-heure. J’en avais parlé une fois à ton frère, ça l’a horrifié, il m’a dit que si vraiment j’en méritais une, il me conduirait chez mes parents en les priant de faire le nécessaire. Et depuis sa disparition, j’ai respecté son souvenir, je n’ai jamais eu d’amant, je l’aimais tant !
— Donc tu as attendu d’avoir quarante-deux ans pour réaliser ton fantasme ! Comme tu me l’as dit, c’est Valérie qui t’a décidée à franchir le pas…
— Oui, dit-elle en ...