Valérie - Histoires de Sexe

Valérie

... fesse. Pas de réaction, je recommence avec l’autre. Je fesse assez modérément mais j’imagine quand même qu’elle ne peut ignorer qu’il s’agit bien d’une fessée. Passée une série de dix claques :— Ça va ? Comment te sens-tu ?— J’aimerais que tu tapes un tout petit peu plus fort…Nouvelle série de dix, en augmentant l’impact :— Comme ça, c’est bien ? Plus fort ?— Non, c’était bien, comme ça…Sa voix est un peu mourante. Je continue pour dix claques de plus. Elle en a maintenant pris trente, plutôt légères il est vrai.— Allez, les dix dernières, un peu plus appuyées, ce sera vraiment ta punition pour avoir manqué de respect à ta mère.Et cette fois je claque pour de bon. Elle couine à chaque fois.— C’est fini, relève-toi.Elle est toute rouge et a commencé à pleurer, elle se pelotonne contre moi en cachant son visage. Elle renifle un peu. Je caresse ses cheveux, je cajole. Au bout d’un bon moment :— J’aimerais que tu racontes tout ça à ta maman, tu veux bien ? Déjà, que tu lui dises bien que c’est moi qui ai payé le téléphone, mais aussi que ça s’est accompagné d’une fessée. Tu veux bien ?— Oui… dit-elle après un long silence de réflexion, et toujours en reniflant. M’enfin c’est moi qui avais demandé une fessée. Et tu as tapé vraiment trop fort à la fin.— Je t’ai expliqué pourquoi, tu l’avais mérité.— Oui, mais moi je voulais une petite fessée d’amour, comme je t’aime et comme tu m’aimes, tu comprends ?— Eh bien c’était ça, les trente premières claques, et les dix dernières te ...

... permettront de dire à maman, sans mentir, que je t’ai vraiment punie. En outre, il faut que tu prévoies une chose : la prochaine fois que tu voudras être fessée de ma main, punition ou pas, ce sera sur ton derrière nu.— Oh, mais pourquoi ?— Parce que c’est comme ça ! La moitié de la punition c’est la honte de montrer son derrière.— Oui mais si c’est pas une punition ?— Laisse tomber, c’est le règlement et je ne le changerai pas.Elle me quitte un peu boudeuse, mais elle se souviendra de ce qui s’est dit ce jour-là puisqu’elle mettra quatre années à le digérer.Le lendemain j’ai un coup de fil de ma belle-sœur Marithé. Après les échanges de politesse d’usage elle me dit :— Valérie m’a raconté votre entrevue d’hier. Elle y était bien obligée puisqu’elle ne pouvait dissimuler que son téléphone était rechargé. Elle t’a bien embobiné, non ?— Si je te dis que j’aime beaucoup ma nièce, tu es surprise ?— Non bien sûr, mais elle a prétendu que tu l’avais sévèrement fessée pour m’avoir dit des bêtises, et là je suis dubitative.— Pourtant c’est vrai. Elle a pris dix claques violentes qui l’ont fait couiner et pleurer.— Et son petit cul était bien rouge ?— Elle n’a pas accepté que je la déculotte et j’ai respecté cet interdit. Je pense qu’à son âge il ne faut pas heurter sa pudeur. Mais je l’ai bien prévenue qu’une prochaine fois ce serait fesses nues.— Hé bien ! Je sais de quoi je pourrai la menacer lors du prochain conflit entre elle et moi. Chapitre 2

— Hé bien ! Je sais de quoi je pourrai ...