Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... au-dessus de la bite de mon ami. Quelque soit l’extrémité considérée, cette cochonne de Natalia semble douée de la capacité d’émettre des quantités infinies de fluides. Déjà, mon annulaire rejoint ses camarades.

Et si j’osais ?

M’aidant de la gauche pour lui écarter les lèvres au maximum, je resserre tous les doigts de ma main droite en bec de canard, et commence, en tournant légèrement, à les enfoncer tous en même temps dans la vulve qui finit par se relâcher. Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, elle avale ma main avec un « schlurps » trahissant son excitation. Je passe rapidement sur la frustration de ne jamais l’avoir entendu lorsque c’était ma biroute qui lui fouillait le ventre, et active de plus en plus rapidement ma main. Le cylindre idéalement lubrifié, mon bras se fait piston, lui arrachant des feulements de tigresse en chaleur.

— Prends ça dans ta fouffe ! lâché-je dans un élan irrépressible de poésie.

Giacomo, la tête en arrière, n’est déjà plus parmi nous : Natalia l’emmène au septième ciel entre deux ululements hystériques. Le bruit de ventouse se fait plus fort et plus visqueux, et elle finit par vider entièrement ses poumons dans un véritable cri de bête. Peu de temps après, elle s’étrangle à moitié en recevant la semence de Giacomo qui lui emprisonne la tête entre ses bras en haletant.

Quand même !

Deux orgasmes monstrueux, on peut le dire, en même temps !

Les jambes de Natalia flageolent tellement que je vois le moment où ...

... elle va tomber. Je la retiens, serrant ses fesses contre mon mandrin qui n’a rien perdu de sa vigueur.

— Hop-là, tu restes avec nous, ma chérie ?

Instant de grâce, où la belle, sentant ma verge coincée entre ses fesses, s’immobilise, comme si elle attendait que je fasse le premier pas.

Quelques gouttes de salive étalées avec le pouce sur sa pastille brune éclaircissent les choses : son cul est la prochaine destination de mon gland violacé. Giacomo sourit : il a compris ce que je vais faire. Natalia se retourne vers moi, ses grands yeux étonnées, la bouche entrouverte qui dégouline des quantités phénoménales de foutre que mon ami lui a déversées dans la bouche.

— Je vais te pistonner ton joli cul de chiennasse !

A-t-elle anticipé ? Toujours est-il qu’à peine mon gland appuyé sur la rondelle, je m’enfonce dans ses tripes jusqu’à la garde. Je remarque à la fenêtre de l’étage du pavillon d’en face, un chauve ventripotent nous observe, une main à hauteur de la ceinture. Grand bien lui fasse ! Regarde, mec, regarde comment je me tape la plus belle parmi les femmes que tu n’auras jamais ! Natalia se détend. Ça reste agréable, mais ça la rend moins étroite. Tant pis, elle adore ça. De grands mouvements de hanches, je lui ramone le rectum méthodiquement.

Le plaisir me prend par surprise.

Combien ? Pas loin de sept ou huit jets bien crémeux, facile, dans ses entrailles. Les tempes martelées par mon pouls, je reprends mon souffle, pendant que Natalia termine ses ...