Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... fluides. Je la doigte furieusement, lui arrachant probablement de profonds soupirs qu’étouffe la bite de Ben. Ce dernier l’a empoignée par les cheveux et observe les joues de notre petite salope distendues par son gros pénis qui envahit cette bouche à pipe.

Je pense un instant que Natalia risque de s’étouffer depuis le temps que mon ami explore ses amygdales. Mais non, elle tient bon !

Trois de mes doigts s’affairent maintenant dans son abricot. Le majeur de mon autre main, préalablement enduit de salive, s’aventure vers sa rosette. Il en fait d’abord le tour testant l’élasticité du sphincter en y imprimant de petites pressions. Puis il se plante au centre de la cible et effectue des mouvements circulaires afin d’en agrandir l’entrée.

Benoît s’extirpe de la cavité buccale de notre bulgare. Elle reprend son souffle, les lèvres dégoulinantes de longs filets de salive. Il me lance un regard accompagné d’un sourire et propose :

— Tu veux pas te faire sucer Gigi ? Sa bouche est divine. Je suis sûr qu’avec ma technique des pouces, on pourrait tous les deux fourrer sa bouche de suceuse.

Je regarde Natalia. Elle a l’air de trouver l’idée intéressante. Elle se positionne à genoux en face de nous, ouvre grand la bouche et tend les deux mains vers nos queues qui se laissent empaumer. Elle nous branle lentement la bouche toujours ouverte, nous rapprochant lentement de celle-ci qui semble s’agrandir au fur et à mesure que nous l’approchons.

Les pouces de Ben ...

... saisissent la commissure de ses lèvres. Il utilise une nouvelle fois sa technique pour nous faciliter l’entrée. Nos verges progressent dans cet antre accueillant et même si c’est la première fois que ma bite effleure celle d’un autre, je dois dire que cela ne me dérange pas parce que nous nous connaissons depuis assez longtemps pour savoir que ni l’un ni l’autre n’est une fiotte.

Malheureusement, la marge de manœuvre est réduite. Natalia a beau avoir une bouche à pipe, nos titanesques pénis ne se sentent pas à l’aise. Je n’arrive pas à m’engouffrer assez loin pour que je sente les incisives de Natalia sur mes poils pubiens.

Je sors de sa bouche et demande :

— Ben, tu veux pas lui montrer comment on ramone une salope dans son genre. J’ai envie qu’elle bouffe ma queue pendant que tu la fourres. Tu n’auras qu’à l’enculer. J’ai pas mal préparé le terrain sur l’aire de repos, dis-je avec un sourire en coin.
— Si tu as déblayé le passage… ricane Benoît en quittant la bouche de Natalia.

***

Je me poste derrière Natalia. Giacomo a bien préparé le terrain : elle bée littéralement. Ruisselant et frissonnant, son corps tout entier semble appeler de ses vœux l’eucharistie séminale. Mais j’ai d’autres projets.

Mon index et mon majeur entrent en elle sans peine, et je commence à la stimuler à un rythme modéré, pour lui laisser la possibilité de sucer Giacomo comme il en a le droit. Des bruits évoquant un yaourt des Balkans bu sans délicatesse montent de sa tête, elle-même situé ...