Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... qu’entre Giacomo et moi, elle est à bonne école. Je me laisse faire, feignant toujours l’indifférence. De toute façon, je m’en tape : j’ai baisé tellement de filles qu’il m’en faut plus pour me faire jouir, d’autant que cela fait un an et demi que je fais des exercices qui me permettent d’éjaculer à la demande. Ça a toujours été mon rêve, d’ailleurs : pouvoir faire comme les acteurs de X, et arroser la gueule de ma nana. Je passe ma main dans sa crinière, et elle défait ma braguette, avant de me prendre en bouche de toutes ses forces. Une véritable affamée. Je crois que le casting, c’est mort.

— Vraiment, elle suce comme une reine, tu trouves pas ? me demande Giacomo, flegmatique.
— Trop, ouais. Mais j’aime bien aussi qu’elle se laisse faire, tu sais, quand je lui ouvre grand la bouche avec les pouces, comme ça (je fais le geste) et que je la baise par là. C’est aussi bon que sa chatte, enfin, c’est pas pareil non plus.
— Oui, j’aime bien le faire aussi. Sérieux, si tu veux t’éclater, emmène-là sur une aire d’autoroute : avec les tordus qui matent, elle prend son pied, un truc de fou !

Je la saisis par les cheveux pour qu’elle se redresse.

— Ah ouais ? C’est bon à savoir, ça. Allez, toi, sors bien la langue !

Je tapote sa langue et ses joues avec mon gland, j’adore ce bruit visqueux et le regard reconnaissant qu’elle m’adresse à chaque fois. Je la barbouille de bave et de préfoutre. Puis, à Giacomo :

— Bah alors ? Tu participes pas ?

***

De lorgner ...

... Natalia dévorer la queue de Benoît me file une trique d’enfer. Ma grosse bite n’est plus à son aise dans mon falzar. Je l’enlève, ainsi que mon boxer Diesel, dévoilant ma gigantesque biroute, nettement plus large que la moyenne mondiale, constellée de veines proéminentes.

Natalia, la bouche violemment écartée par les deux pouces de Ben, se fait ramoner le conduit buccal. Il fait entrer et sortir son cinquième membre dans l’orifice agrandi par ses deux mains. Elle s’étouffe littéralement sur sa queue en produisant des gargouillis qui ne cessent de faire croître mon braquemart.

J’attrape Natalia par les cheveux et l’oblige à relever la tête. Le fond de mon verre de Mojito finit sur la bite luisante de salive de mon meilleur ami. J’oblige Natalia à me regarder en tirant une nouvelle fois sur sa chevelure et lui ordonne :

— Nettoie la queue de mon pote. Fais-la reluire petite chienne.
— À vos ordres, réplique-t-elle en lapant sa verge.

Ben ne peut s’empêcher de temps à autre de cogner le visage de Natalia avec sa bite. Elle, persiste à essayer d’enlever le restant de Mojito.

Lorsque la queue me semble propre, j’ordonne à Natalia :

— Avale-le jusqu’à la garde.

Sans broncher elle s’enfonce le chibre au fond du gosier et vient lécher ses couilles du bout de la langue.

Ma pine remonte, fière et droite, au-dessus de mon nombril. Je me place derrière Natalia, retrousse sa robe froissée et enfonce le majeur et l’index dans sa chatte qui ruisselle déjà de nombreux ...