Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... jambes musclées, elle avale ma tige jusqu’à la garde. Pour le coup, je suis agréablement surpris. Comment peut-elle réussir à absorber une queue qui n’a rien à envier à celle de Rocco. Ravi, Je lui défonce donc son orifice buccal comme si c’était sa chatte et me vide au fond de sa gorge.

Quelques secondes plus tard, en observant sa croupe que j’écarte des deux mains afin de mieux contempler son petit œillet alors qu’elle est à quatre pattes sur le lit, je bande à nouveau. Ni une ni deux, je m’enfonce dans son cul et le lui pistonne jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter tellement je suis doué en sodomie. Elle m’avouera plus tard avoir joui sept fois.

Mais comme je suis quelqu’un de vraiment endurant, en toute modestie, elle doit me branler une demi-heure au-dessus de son visage que je finis par inonder de foutre.

Il me faut cette fille ! Je dois la ramener chez moi ! Demain mon meilleur pote, Ben, me rend une petite visite. Il doit voir Natalia ! Je veux qu’il soit jaloux. Jamais je n’ai vu une fille aussi belle, si chaude. C’est la reine incontestée des salopes.

Lorsque je vais lui raconter ce que je lui ai mis hier soir, après l’hôtel, sur l’aire de repos, Il va halluciner.

Il me tarde de voir sa tronche.

***

Giacomo se gondole pendant cinq bonnes minutes. Je dois avoir les yeux qui me dévorent la figure. Je me pose à table, à son invitation, et entame le Mojito qu’il a préparé lui-même – d’ailleurs, boit-il autre chose que du Mojito ?

Alors ...

... comme ça, Natalia est la maîtresse de Gigi, aussi ? Elle ne s’emmerde pas ! Elle, ça la fait rire de voir mon étonnement. Je ne percute pas, lorsqu’elle dit, avec son sourire désarmant :

— Tant mieux, ça m’en fera deux fois plus !

À vrai dire, j’en suis surtout encore à songer qu’elle porte la même robe Dolce & Gabanna que lorsqu’elle est partie de chez moi, mais qu’elle est nettement froissée. Ils ont dû s’envoyer en l’air avant que j’arrive.

J’essaie d’en savoir un peu plus, et tombe sur le cul, en l’entendant raconter par le menu ce qu’il lui a mis sur l’aire d’autoroute, une heure avant qu’elle me rejoigne, et ensuite, comment ils se sont envoyés en l’air deux fois avant mon arrivée. Je comprends à demi-mot que la piscine est déjà suffisamment bonne pour qu’il ne mette pas le chauffage.

Giacomo est un peu halluciné, et fait semblant de s’énerver :

— Non mais ça va pas, de raconter notre vie sexuelle à ton amant ?
— Arrête, je le connais, je sais que ça le fait bander !

Un regard rapide vers ma braguette me confirme le caractère prophétique de sa dernière sortie. À vrai dire, je crois que j’apprécierais pas mal de la regarder se faire sauter par quelqu’un d’autre, et si c’est Giacomo, finalement, c’est encore mieux. Je relève les yeux, et lance, avec un détachement à demi-feint :

— Oh, tu sais, il m’en faut plus que ça, pour m’exciter.
— Menteur !

Et là, je vois sa main pétrir mon sexe à travers mon pantalon. Elle sait vraiment y faire ! Je pense ...