Adieu Marie, bonjour Catherine
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
amourcach,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... rien. J’ai caché cette douleur, je l’ai enfermée pour que personne ne te reconnaisse en elle… Maintenant, aime-moi : j’ai trop attendu. Prends-moi, prends mon corps, prends mon amour, prends ma vie ; ils t’appartiennent. Je veux sentir ton amour sur ma peau, sur mes seins, dans mon corps. Nous ferons l’amour toute la nuit. Tu te rends compte ! Seuls tous les deux, collés nus l’un contre l’autre… Viens vite… Viens. Embrasse-moi.
—ooOoo—
Pendant des heures et des heures nous nous sommes aimés. La fenêtre de sa chambre était grande ouverte mais nous n’avons vu ni la nuit tomber ni le soleil se lever. Nous ne nous séparions l’un de l’autre que pour nous regarder et aimer nous regarder. Nous ne rompions l’accord de nos souffles que pour nous parler. Nos jouissances étaient suivies de caresses et de mots d’amour. Le corps merveilleux de Catherine ne laissait aucun répit à mon désir. Elle était aussi ardente qu’inexpérimentée. Ses hésitations et ses doutes devant le corps d’un homme étaient si touchants que j’en étais envahi de tendresse. Je l’aimais au point que mes gestes, mes caresses et mes baisers se succédaient naturellement sans craindre de la choquer par des gestes extrêmes. Elle aimait tout. Je lui disais tout. Elle disait « oui ». Elle disait « encore ». Son sexe avait la saveur du bonheur. Ses seins généreux rendaient mes mains intelligentes. Tous les mots de l’amour, envie, désir, volupté, plaisir, jouissance, orgasme, exultation, tendresse, sanglots, ...
... gémissements n’avaient que deux noms : le sien et le mien.
Toute ma vie, je me souviendrai de notre première étreinte. J’ai réussi à maîtriser l’impatience de mon corps pour l’accompagner dans un orgasme fabuleux. J’ai joui avec elle. Le soleil encore haut illuminait la chambre. Pendant plusieurs minutes elle est restée allongée langoureusement, comme engourdie par le plaisir qu’elle venait de ressentir. Après, elle m’a parlé :
— Rappelle-toi le soir où Charles m’a emmenée dîner dehors. Tu étais dans le jardin avec Sandra. De la fenêtre de ma chambre, je vous observais. Tu sais que tu n’es pas particulièrement beau ? Tu es bien foutu physiquement, mais tu n’es pas un Apollon. Et pourtant, tu as des tas de petites choses qui font de toi un homme très séduisant. Tes mains, tes gestes de tous les jours et de tous moments sont empreints d’une sensualité qui m’a progressivement embrasée. Tu as une façon très indiscrète de regarder les femmes qui leur donne la sensation que tu les déshabilles. Et c’est très agréable quand on aime celui qui vous regarde ainsi. Et ces yeux moqueurs et amusés que tu posais sur moi, comme si j’avais fait ou dit une sottise, me faisaient frissonner… Ce soir-là, en te regardant j’avais des picotements, des démangeaisons sous la peau… et ailleurs. J’ai voulu que tu aies envie de moi, que tu me désires. Alors, avant de descendre, j’ai mis ma jupe la plus courte et j’ai retiré mon soutien-gorge, sachant bien l’effet que cela pouvait faire. Tu as dû croire que ...