Adieu Marie, bonjour Catherine
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
amourcach,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... moindre interruption, ma direction m’avait – disait-on – mis au vert. La mise au vert consistait à continuer à travailler mais en étant affecté à un projet en France, avec peu de décisions délicates à prendre et beaucoup de liberté, et c’était effectivement assez reposant. Je devais installer un réseau d’appareils de mesures sur le site d’un petit barrage dans le Morvan. Une des parcelles sur lesquelles je travaillais appartenait à une assez jolie femme qui résidait en été dans le village voisin. Je suis allé deux ou trois fois chez elle pour régler de petites formalités de droit de passage. Elle s’appelait Sandra, et habitait l’été dans une très jolie maison de campagne.
Sandra devait avoir dans les trente-cinq ans, peut-être un peu plus. Nous avons sympathisé, assez pour qu’elle m’invite un soir à dîner. Elle était divorcée et très disponible. Très rapidement, elle est devenue ma maîtresse. Tous les soirs, avant de rentrer à l’hôtel, je me rendais chez elle. J’y passais quelquefois la nuit. Sa maison était un havre de tranquillité, avec un verger et un jardin rempli de fleurs. Lorsque j’avais un peu de temps, je l’aidais dans de menus travaux. J’y ai passé des moments délicieux de paix et de sérénité, loin de Paris et de ses problèmes. J’avoue que j’ai fait traîner ce travail pour prolonger au maximum ce qui était pour moi de vraies vacances.
Un soir, arrivant chez Sandra, j’aperçus de loin, comme un sourire du hasard, une jeune fille brune. Je la vis d’abord de ...
... dos ; son maillot de bain couleur chair me fit croire un instant qu’elle était intégralement nue. Son corps était somptueusement beau. Elle était svelte, sans avoir cette silhouette décharnée et transparente qu’affectionnent beaucoup de femmes mais qui efface toute féminité. Arrivé près d’elle, la saluant, elle m’a dit :
— Vous êtes Paul, je crois, l’ami de Sandra. Elle m’a parlé de vous ; nous vous attendions pour dîner. Moi, c’est Catherine.
Elle était jolie. Immédiatement, elle me plut.
—ooOoo—
Ce premier soir, elle s’est absentée pour rejoindre un ami qu’elle avait connu alors qu’ils étaient enfants et qu’elle retrouvait quelquefois les mois d’été. Sandra en profita pour me parler d’elle. Pour Sandra, Catherine était une énigme. Son ami Charles était un très beau garçon, et la réserve apparente de Catherine ne correspondait en aucune façon à la philosophie que Sandra se faisait de la vie. Elle ne comprenait pas Catherine. Elle m’expliqua : « Avec le physique qu’elle a, cette fille doit aimer l’amour sans le savoir. Quel dommage ! Tu m’aurais vue à son âge ! » Je n’en doutais pas, du moins en ce qui concernais Sandra que je pratiquais depuis quinze jours et qui parfois m’épuisait. Elle avait conseillé à Catherine d’être plus entreprenante, sans même savoir où en étaient exactement ses relations avec Charles. Elle l’avait encouragée à être offensive, et en discutant lui avait donné des conseils gratuits :
— Si Charles te plaît, profites-en ma chérie. Quand tu ...