1. Adieu Marie, bonjour Catherine


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral pénétratio, amourpass, amourcach, Auteur: Alex2, Source: Revebebe

    ... venue chez elle en son absence. Sur ce dernier point, ce serait facile, dans la mesure où elle ne soupçonnait rien de mes sentiments profonds. Je voulais voir Sandra seule et Catherine seule. Difficile ! Arriver tôt avant que Sandra ne soit rentrée m’obligeait à supporter avec Catherine un long tête-à-tête qui me faisait peur et qui risquait de la mettre mal à l’aise et de me faire souffrir. De plus, il y avait Charles ! Celui-là, je ne voulais pas le voir.
    
    En arrivant, ni moto ni voiture devant la barrière du jardin. Si Catherine était là, elle était seule. J’avais les idées plus claires et je m’étais persuadé que de retour à Paris, puis ensuite beaucoup plus loin, ma déception s’amenuiserait et que je garderais un souvenir tendre et charmant de cette merveilleuse jeune fille. Un peu comme celui que j’avais de Marie, mais avec une petite pointe d’amertume et d’insatisfaction en plus, car rien d’impossible me semblait exister entre Catherine et moi. De plus, j’avais peur que notre différence d’âge de huit ans lui semble être un obstacle entre la jeune fille qu’elle était et un homme qui, par rapport à elle, avait déjà beaucoup vécu. Et c’est finalement presque serein que j’ai frappé à la porte vitrée. Je ne voulais pas me retrouver dans la même situation que la veille, Charles pouvant malgré tout être là. Catherine m’a fait signe d’entrer. Effectivement, elle était seule. J’ai eu, le temps d’un éclair, le sentiment que ma venue ne la gênait nullement. Elle n’avait ...
    ... d’ailleurs aucune explication à me donner, contrairement à moi. J’étais d’autant plus emprunté et ému qu’elle portait, comme le premier jour, ce maillot de bain qui mettait en valeur un corps beau à se damner. Malgré mes résolutions de relativiser la situation et de n’accorder à mes sentiments que la valeur d’une pulsion passagère, je sentis une crue de désir me submerger, me noyer, me torturer. Elle était tranquille et me regardait avec une attention qui me surprit. Rassemblant mes esprits et mon courage, j’ai commencé :
    
    — Je suis venu m’excuser de mon intrusion d’hier soir… Je ne pouvais me douter que vous et Charles étiez… étiez ensemble. J’espère ne vous avoir pas dérangés… Enfin, oui, je vous ai dérangés, c’est évident.
    — J’ai l’impression que vous avez été plus gêné que nous.
    — Sans aucun doute, surpris. Surtout que, dans la tenue où vous étiez…
    
    Elle me dévisageait avec surprise. Il y avait dans son regard une flamme que je n’avais pas remarquée jusqu’à ce jour, et comme une impatience dont je ne parvenais pas à comprendre la raison. C’était comme si elle voulait que je continue de parler. Elle reprit :
    
    — Si c’est ma tenue – ou plus exactement mon absence de toute tenue – qui vous a choqué, c’est bien peu, et sûrement pas de quoi en faire une histoire. Si j’étais la première femme que vous ayez vue comme ça… Quant à moi, d’autres que vous ont eu ce plai… disons cette opportunité.
    — Ne serait-ce que Charles : il était mieux placé que moi, dis-je en riant.
    
    Je riais ...
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