Adieu Marie, bonjour Catherine
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
amourcach,
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... s’imposer à moi depuis longtemps, que j’étais amoureux de Catherine.
La vitalité de Sandra aurait dû normalement me calmer, mais la présence de Catherine sous son toit avait un effet inverse. Depuis quelques jours, c’était moi qui épuisais Sandra ; Catherine m’insufflait un désir imprévu et neuf, et Sandra en profitait sans en comprendre la raison.
Je me souviens, c’était un jeudi. Je devais rentrer définitivement à Paris en fin de semaine. En la quittant, Sandra m’a prévenu qu’elle devait partir un ou deux jours à Lyon. Nous devions nous revoir le samedi ou le dimanche suivant, veille de mon retour à Paris.
Que faire ? Je me suis posé la question en connaissant parfaitement la réponse. L’absence de Sandra laissait la maison et le champ libre aux deux tourtereaux. Catherine sera seule, ou avec Charles ! Je viendrai la voir malgré la blessure que pourrait m’occasionner la révélation d’une liaison sérieuse avec Charles. J’étais finalement presque satisfait de savoir, mais aussi j’avais peur de cette opportunité qui me permettrait enfin de voir clair !
Le lendemain en fin d’après-midi, en arrivant devant la barrière du jardin, j’ai vu la moto de Charles. J’ai failli repartir, mais une jalousie féroce et un mince espoir m’ont poussé irrésistiblement vers cette maison. Ils n’étaient pas dans le jardin. Que pouvaient-ils faire par une si belle journée, enfermés dans une maison ? Il fallait que je sache enfin. Je voulais en être sûr. Je voulais voir Catherine. J’aimais ...
... Catherine. Cette évidence qui s’était imposée à moi me brûlait le corps, mais risquait aussi de m’écorcher le cœur.
Je venais à peine de pénétrer dans la grande salle que j’ai vu Catherine se dresser, en bikini, la poitrine nue, magnifique. Je n’ai pas vu Charles qui devait être dissimulé derrière le large canapé. Je l’ai seulement entendu marmonner quelque chose. Je ne me souviens plus exactement ni de ce que j’ai dit ni de ce que j’ai alors fait. Je me suis retrouvé dans ma voiture, triste, désespéré. Dans cet état que tout homme connaît au moins une fois dans sa vie, lorsque rien dans ce qui l’entoure, rien dans ce qu’il voit et entend n’a de sens ni d’avenir. Cet état où le plus brillant et le plus serein des ciels sont voilés par une tristesse qu’on croit éternelle ! Et aussi, j’avais mal dans tout mon corps, dans mon ventre, dans toutes mes parcelles de vie capables de receler une émotion. Je revoyais ce corps lisse, cette poitrine aux seins magnifiques, aux aréoles dilatées et aux mamelons durcis par le désir, cette taille fine, ce ventre doux et – caché par un ridicule morceau d’étoffe – ce petit triangle noir dont je rêvais et sur lequel j’aurais tant aimé poser mes lèvres ! Mon désir était devenu chagrin.
—ooOoo—
Le lendemain, toujours aussi triste, j’arpentais la campagne, pensant au terrible faux-pas que j’avais commis la veille. Il fallait que je revoie Catherine au moins pour m’excuser et aussi Sandra pour fournir une explication plausible quant à ma ...