Soline en chambre d’hôtes
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jpj, Source: Hds
... devant les convives rassemblés pour un apéritif et surtout ma Soline qui n’avait pas pu manquer de voir cette gourgandine rousse tenter de me voler un baiser.
On est passés à table, quatre couples. Les hôtes ont filé à l’office quérir les mets du premier service.
Moi je savais que quatre des cinq filles étaient nues sous leur robe mais restais en interrogation sur le statut de la cinquième, la fille à toison bouclée, africaine.
Je voyais dans les regards des gars, qu’ils étaient, tous, dans le même état d’esprit que moi.
On était une sacrée équipe. Et ça bandait dur à la table d’hôtes cévenole du fond du Cirque de Navacelles.
Le hasard a voulu, pas moi, non, le hasard juste, que je me retrouve assis, à cette table ronde à côté de l’Africaine rousse. Moi je pensais cette fille a le cul tellement cambré qu’on y pourrait poser son verre sur le croupion.
Elle avait la tête de la fille du Sud sur le single de Nino Ferrer. Avec des cheveux de partout qui laissaient présumer.
Mes mains tremblaient de curiosité intellectuelle.
Notre hôtesse est entrée dans la salle à manger voûtée, son plateau d’amuse-bouche en mains. La touffe frisée luxuriante gonflait le devant de la robe médiévale et nous tous, filles et gars, avions regard bas sur ses hanches, son pubis.
Ma ...
... main est allée à la cuisse de la voisine. Cuisse solide de fille sportive. Comme une connivence, comme un geste d’amitié. Je savais ma quête.
La caresse a plu à la voisine, paume sur ses hauts tendres, en félicités d’effleurements et de voyages. Elle riait et ouvrait ses jambes.
Je pensais, elle, aura touffe autrement plus épaisse. Voyons.
Et les quatre autres mecs à la table étaient dans le même état d’esprit. On était cinq en bandaison totale face à cette fille africaine.
Mes doigts ont atteint l’aine et l’élastique. Comme brûlure. Mon recul, ma réticence ont fait comme un collapse. Toute la tablée a eu des yeux noirs à l’Africaine.
Elle a dit, chez nous, on vit nues sous les boubous. Ici, j’ai voulu être civilisée et porter culotte. Contrainte de chaque jour de l’homme blanc. Serait-ce erreur ? Culture d’Europe.
Moi j’avais la main sur son buisson, sur le coton gonflé de son pubis. Et j’enfilais deux doigts entre ses lèvres tandis que deux autres encadraient ses gonflés, pouce inutile par côté.
Le coton était trempé de son attente et mes doigts glissaient sur le frisottis épais comme luge en neige fraîche.
Je lui ai glissé à l’oreille, tu es la seule avec encore une culotte, va-t-en l’ôter et reviens nous ouverte en désirade.
C’est ce qu’elle a fait.