Soline en chambre d’hôtes
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jpj, Source: Hds
Solène est prénom courant.
Soline, elle, m’a dit, je suis la seule, l’unique. L’unique fille de France à me prénommer ainsi.
Elle était blonde comme fille du Nord. Elle avait des yeux délavés comme fille de Flandre, des Flandres.
Comme elle m’avait dit unique, moi j’avais pensé nique, enfin, disons que j’avais entendu nique. Le mot nique. Comme dans le verbe niquer.
Nous les mecs, on entend rien que ce qu’on veut bien entendre...
Moi, je trouvais ça sympa de, peut être, niquer une fille qui s’appelle Soline et qui est l’unique de France à se nommer ainsi. Enfin à se prénommer ainsi. J’en bandais déjà. Comme quoi, comme disait Brassens, la bandaison ne se commande pas.
Soline était blonde à cheveux longs sur les épaules. Et moi je matais son devant de robe d’été avec juste de petits tétés marquant le coton léger. Je pensais Soline est gamine et il lui faudra attendre encore quelques années pour proposer du nibar belge lourd sur le devant. Comme il se doit.
Elle m’a dit, ne t’attend pas à morphologie de Mathilde, fille plantureuse nourrie à la frite et au poisson pané cuit dans l’huile bouillante. Elle disait, moi je suis fille des plages immenses de mer du Nord chars à voile et mon corps est musculeux dur et bronzé mais pas très appétissant. En quoi elle se trompait.
Soline avait deux mains agiles au bout de deux grands bras immenses. Et diablement préhensiles.
Soline, ton nom me chavire. Je pense à Line, copine amoureuse de mes quinze ans en ...
... chahut dans les dunes d’Atlantique. Je pense aussi à la Solène que j’ai aimée sur le tard en Méditerranée, sable chaud et lit douillet.
Méditerranée, soleil, chaleur et filles de l’été.
Toi, Soline, tu étais plutôt fille des froidures d’hiver. Enfin c’est ainsi que je te voyais et je pensais que c’était là le souvenir que je garderais de toi.
On était partis tous les deux en auto par des routes étroites et sinueuses de Cévennes. Soline avait posé sa main sur ma cuisse, mon haut de cuisse. Et mon coeur battait des crispations de sa paume en unisson. Soline, je ne voyais que son profil à côté de moi, passagère de la voiture. Son profil était calme, presque indifférent. Elle regardait devant. Pourtant je sentais bien, à sa main sur moi, qu’elle était en concordance, en résonance d’amitié.
Soline avait la main dure sur ma cuisse et je pensais, cette fille est musclée. De corps assurément mais de phalanges aussi.
Sa main est remontée à mon aine. Elle cherchait. Elle n’a pas eu à chercher longtemps pour trouver. Ma bite, longue et dressée était dans sa paume et elle serrait. Cette fille avait appétence pour l’organe des garçons.
Qui, de notre confrérie, s’en serait plaint ?
Les roupes, Mademoiselle n’oubliez pas les roupes. On criait dans nos têtes cette exhortation à la fille pour qu’elle y mette la main par en dessous et ne se limite à seulement masser le gland et la tige. Souvent les filles se contentent de triturer la bite sans penser au reste de la famille... ...