1. Soline en chambre d’hôtes


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... Cousin cousine oubliés.
    
    Mais celle-là avait compétence et a empaumé le paquet tout entier remontant de par en dessous les gonades molles pour donner à l’ensemble volume et consistance.
    
    Je pensais, nous irons à Ganges demain et je te mènerai à ce rendez-vous d’embauche au refuge météorologique du Mont Aigoual. Mais ce soir, nous serons dans cette chambre d’hôtes inconnue. La dame hôtesse a dit au téléphone qu’elle me préparerait le souper. Sûr qu’elle sera accueillante à toi aussi, bien que je n’aie pas prévenu que je serais accompagné.
    
    Je vais néanmoins envoyer un SMS pour que tout soit clair.
    
    Fais le, toi, car moi je conduis l’automobile.
    
    Soline a pianoté mon iPhone pour dire à la dame que son client aurait copine et qu’il faudrait non seulement héberger celle-ci mais encore, sed etiam, surtout la nourrir. Et puis lui être agréable, aussi.
    
    Soline a dit, c’est ça qu’est bien dans l’écrit, c’est qu’on ne reconnaît pas la voix du mec qui cause. Pas d’accent qui viendrait dévoiler...
    
    Et sa main serrait ma bite fort à travers le tissu du futal. Complice.
    
    Elle lisait Googlemap et me disait la route à suivre. Le soir était tombé et les virages s’enchaînaient dans les phares tandis que je matais le visage de Soline à mes côtés éclairé seulement de l’écran du smartphone. Sa main était calme sur moi, gardant au chaud de sa paume, sans plus.
    
    On est arrivés à une sorte de petit château au fin fond d’une excavation immense. Il faisait nuit et dans ce ...
    ... coin-là, perdu de civilisation, il n’y avait aucune lumière sauf d’étoiles. Nos têtes tournaient des lacets enchaînés subis. J’ai garé l’auto devant la porte genre pont-levis. D’autres autos y étaient alignées. Une Audi 8, une Morgan verte et une très vieille Cobra sans toiture ni capote.
    
    La dame hôtesse est venue nous accueillir en robe longue médiévale, genre chevaliers de la table ronde. Elle a pris le sac de Soline et nous a emmenés tous deux par un escalier étroit en colimaçon jusqu’à notre chambre. On suivait en file indienne entre les murs de pierre humide en grimpant vers les hauteurs sombres éclairées seulement de palier en palier par des candelabres aux lumières fasseillantes.
    
    Moi je suivais l’hôtesse, mon sac Longchamps en main. La robe longue claire dessinait ses fesses et montait à chaque marche tissu vrappé au bas de son dos. Le rond le charnu moulaient la maille de façon indécente et je voyais comme évidence sa craque profonde qui respirait à chaque changement de pied.
    
    La chambre était ronde, occupant le dernier niveau de la tour façon donjon. Une fenêtre immense la baignait des lueurs sombres de mille étoiles du haut du cirque. L’hôtesse a tardé à basculer l’interrupteur d’éclairage. Elle est restée immobile au milieu du passage à se faire bousculer par moi d’abord, par Soline ensuite. Son corps était chaud et plein. La robe longue médiévale était fine et ne cachait rien à mes mains aveugles.
    
    Elle a posé le sac et nous a cherchés, l’un comme ...
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