Soline en chambre d’hôtes
Datte: 18/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jpj, Source: Hds
... velours noir était redescendue. Elles étaient deux en robes courtes, elle et l’autre lionne à la crinière rousse.
Mais la petite blonde naturiste me plaisait particulièrement avec ses petits seins gonflant l’encolure basse de tissu noir et ses gambettes musclées au fin duvet clair. Sa tête toute ronde coiffée court de blond de blé avait le doré des filles sportives qui vivent l’hiver sur la cendre du stade et les neiges en pente, l’été en rappel sur dériveur ou aux winchs sur quillard.
Je lui parlais windsurf et elle riait, à son affaire, énumérant les spots qu’elle connaissait. J’ai refilé le plateau de tapas au copain de Joan Baes, un gars légèrement bedonnant, intéressé manifestement par le contenu du dit plateau.
La petite robe noire ne couvrait pas grand chose du corps de cette blonde bronzée de partout. Sous les bras, aux aisselles, les échancrures laissaient voir ses petits seins tout ronds. Le velours suivait ses formes et sa taille étroite puis ses hanches pour s’arrêter, en insuffisante longueur, au premier tiers de ses cuisses. La robe était fermée d’un zip qui parcourait sa colonne vertébrale, un zip très fin, avec revers, dont on voyait la minuscule tirette à sa nuque.
La pulsion qui faisait qu’on avait envie de descendre le zip d’en haut jusqu’en bas était puissante. Et je pensais, arrivé en bas le zip doit s’ouvrir et l’on peut, en la regardant dans les yeux, lui ôter le vêtement à glisser le long de ses bras par devant.
Je me voyais empaumer ...
... les trois décimètres carré d’étoffe sombre pour les jeter par dessus mon épaule comme un cosaque son verre de vodka afin de me repaître du corps uniformément bronzé et bien découplé de cette blonde à cheveux courts.
Il m’était évidence qu’elle non plus n’avait pris peine à chausser culotte.
Son abricot parfaitement glabre était réponse à mes interrogations.
La lionne à crinière luxuriante rousse était à nos côtés et parlait. Elle avait des choses à dire mais nous, on l’entendait pas, tout à nos turpitudes.
Elle a compris que les mots étaient dorénavant insuffisants pour se faire entendre. Elle a attrappé ma nuque et a tiré bas mon oreille à sa bouche, comme pour dire un secret. Moi je ne la connaissais pas cette rousse. C’était une parfaite étrangère. Aussi me suis-je laissé faire, pour entendre son secret, en quelque sorte.
Mais la coquine, lieu de s’épancher à mon ouïe comme j’imaginais, a pris ma bouche pour un baiser genre Souchon en plage de Mer du Nord.
Vu que je ne savais pas trés bien où elle voulait en venir et que mon interrogation à son sujet portait essentiellement sur sa touffe, j’ai répondu à son attente, presque tendrement de bouche et de langue mais en m’interrompant brusquement pour lui poser la question qui m’importait.
Ses yeux, bleu cobalt, m’ont fusillé. Rousse à yeux bleus sombres outragée par un qui s’intéresse qu’à son cul lors qu’elle offre ses lèvres et son cœur.
J’étais gêné de cette presque altercation en cette chambre d’hôtes ...