1. Soline en chambre d’hôtes


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... couchant. Jusqu’à arriver, flappis, à ce château chambre d’hôtes de fond d’ombre, presque de nuit.
    
    La blonde me plaisait. Son mec un peu moins. Même, dirais-je, j’eusse préféré qu’elle n’en n’eût point, de mec. On ne se refait pas...
    
    Mon verre vidé, je suis remonté à la piaule quérir ma dulcinée.
    
    Elle était toute nue sortie de bain, drapée de grande serviette éponge bleue. Elle était belle et sa touffe claire aux longs poils blonds raides cachait en pudeur ses intimités roses débordantes.
    
    Elle a enfilé une longue robe de satin doré par dessus sa tête sans rien dessous, sans soutif ni culotte non plus. Elle souriait et m’a dit, je me sens bien ici dans ce pays de Cévennes vêtue ainsi. Laisse aller, profite.
    
    Elle a fini de s’apprêter devant un miroir de star encadré d’ampoules dépolies, assise sur un fauteuil de cinéma marqué derrière du nom de Sarah Forestier.
    
    On est descendus main dans la main retrouver les autres convives et ma mie m’a dit, j’ai la chatte toute troublée des circonstances.
    
    La blonde n’était plus là, son copain non plus. En revanche deux autres couples faisaient le show. Surtout les filles.
    
    La fille de droite avait inouïe crinière de lionne et je pensais à son entre-cuisses. J’imaginais sa culotte pleine à craquer de toison fauve aussi luxuriante, du nombril au coccyx. Et je bandais. En toute simplicité.
    
    L’autre était style Joan Baez avec longue chevelure brune et robe beatnik façon Woodstock. On voyait d’évidence qu’elle ...
    ... partageait ce soir l’attitude écolo bobo de ma copine, soutif oublié au vestiaire, seins lourds pointant leurs tétons bas sur le coton bariolé du poitrail. Ce n’était pas pour me déplaire et je pensais, a-t-elle, elle aussi fait l’impasse sur la culotte ?
    
    Ma copine est biseuse. C’est à dire que lieu de dire bonjour, elle tend sa joue d’un côté de l’autre en simulacre de bisoux. C’est sa façon à elle de saluer. Même des gens parfaitement inconnus nouvellement rencontrés.
    
    Ça n’a pas raté, elle est venue à la grande brune en robe longue et pour la saluer a posé sa main sur la hanche, balayant d’une paume exploratrice de la taille jusqu’à la fesse, les charnus des quatre doigts en sensibilité de scanner.
    
    Quand elle a tourné son visage vers moi avec regard malicieux, j’ai compris qu’elle avait trouvé âme sœur ou du moins concordance avec cette Joan Baez de Cévennes.
    
    Qui n’en portait pas non plus...
    
    Notre hôtesse est alors entrée, avec un plateau de rafraîchissements, jus d’orange, pamplemousse et autres. Sa robe médiévale ne détonait pas entre les deux autres robes longues. Je me pris à penser à ma copine coquine et au méli-mélo plus tôt dans l’obscurité tous trois. Dans la bousculade a-t-elle aussi passé les mains pour explorer les dessous de la dame hôtesse ?
    
    Moi je savais un peu car, sans l’avoir le moins du monde provoqué ou même cherché, j’avais eu en main un sein, chaud et palpitant comme colombe de paix, simple et libre sous l’étoffe légère de la robe médiévale. ...
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