La madone des cités
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
voisins,
init,
exercice,
Auteur: Ortrud, Source: Revebebe
... Maintenant, tu as 19 ans, tu connais le plaisir, alors, tu crois pas que toutes les deux, on pourrait s’entendre ?
C’était un discours de l’autre monde, je l’entendais souffler sur ma nuque, se rapprocher, coller ses mains sur mes fesses, entourer ma taille, me mordre les oreilles.
— Si tu voulais, on se ferait plaisir toutes les deux, tu aurais pas besoin de courir ailleurs et de te faire larguer, tu aurais tout à domicile, je suis pas trop mal tu sais.
Ça tournait dans ma tête, mais dans mon ventre ça bouillonnait, de peur et de, comment dire, d’impatience.
Elle passe les mains devant sur ma poitrine puis elle descend, défait le premier bouton de mon jeans.
— Allez, déshabille-toi, mets-toi à poil.
J’ai baissé mon jeans « Dis donc, elle dit pas non » et retiré mon t-shirt. J’étais là en culotte.
— Déshabille-moi.
Je l’ai déshabillée, pièce par pièce mais ça a pas fait grand-chose, sous la blouse elle avait juste un petit slip. C’était pas une beauté de magazine et elle avait des kilos en trop, mais c’était excitant, ce corps de grande femme, un peu gras.
— Viens que je te retire ta culotte. C’est vrai, tu as de jolies fesses, mais t’as rien devant, et on dirait une gamine, en bas. Sa voix tremblait. Dis-moi, encore une chose, c’est vrai que tu es toujours pucelle ?
— Oui.
— Approche-toi, on n’a plus grand-chose à se cacher Elle est assise sur le lit. Je regarde ses seins qui pendent pas mal, ça me fait chaud partout et puis aussi ses poils en ...
... bas du ventre. Non, elle m’a pas forcée.
Elle a juste écarté les jambes et je me suis mise à genoux devant elle. Ça me rendait folle, cette odeur de femme, comme ça, sans caresse, juste sa minette devant mes yeux.
Je lui ai fait l’amour, elle a joui presque tout de suite et elle m’a fait de la pluie sur la figure. Après seulement, on s’est allongées et elle en voulait encore. Je lui ai fait tout ce qu’elle voulait mais elle, elle donnait rien. Alors, je lui ai montré ma vulve en me mettant sur elle, mais ça avait pas l’air de tellement la brancher ; elle m’a fait juste quelques bisous et elle m’a un peu mis la langue, sans me faire jouir.
Au bout d’un moment, elle a poussé ma tête vers son ventre « Encore, puis mets-moi les doigts » J’ai fait ce qu’elle voulait, et on s’est levées, elle était toute contente, moi, j’avais le feu au ventre. Pendant qu’elle était aux toilettes, je me suis vite branlée, c’est venu tout d’un coup, j’avais les doigts qui sentaient sa minette.
Et ça s’est installé, tranquillement. Je la baisais, elle se faisait baiser et de temps en temps elle me suçait. Petit à petit, elle devenait plus autoritaire, y avait plus de bisous dans le cou. Quand on se trouvait ensemble à la maison, souvent, elle enlevait son slip et elle disait juste « Suce-moi, je le dirai à personne ». Et ça la faisait rire.
Je voyais toujours Odette qui allait mieux mais j’avais rien à lui dire, parce qu’il fallait rien dire.
Et c’est comme ça que, lundi, comme je ...