1. Décalage horaire


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fh, fhhh, profélève, grossexe, jardin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... la soixantaine, le doute n’est pas possible.
    
    Tirant Maud par sa laisse, je me dirige vers lui.
    
    — C’était une C6 ?
    
    Qui dit conflit dit armes et autres saloperies diverses. Alors, pour éviter de se faire encore un peu plus massacrer que ce n’était déjà le cas, les autorités nous avaient concocté un petit tableau sur lequel les armes des aliens étaient référencées, la référence C6 correspondant à une sorte de mine.
    
    Lorsque l’on s’en approchait, elle avait l’effet d’un micro-onde vous pétant à la gueule… Et tous ceux qui étaient dans un rayon de dix mètres n’avaient aucune chance d’en réchapper. Par contre, pour ceux qui étaient plus loin, les muscles des membres exposés se nécrosaient instantanément. Au final, des séquelles irréversibles et, à tout jamais, un boitillement plus ou moins important mais facilement identifiable par un ancien combattant comme moi. Il se retourne.
    
    — Comment le savez-vous ?
    
    Je souris tristement.
    
    — Disons que j’ai trop bien connu, hélas.
    
    Comme il ouvre des yeux ronds, je décide de couper court.
    
    — Je suis Jonas Gamardon, je pense que vous avez entendu parler de moi.
    
    Un sourire illumine son visage tandis qu’il me tend affectueusement la main.
    
    — Docteur Wilheim, enchanté. Vous êtes donc un compagnon d’armes, alors ? Cela fait si longtemps…
    
    Pendant ce temps, Maud se racle la gorge pour se faire remarquer. Un couple qui passait par là nous fusille du regard, Wilheim s’en inquiète.
    
    — Giflez-la tout de suite et faites-en ...
    ... des tonnes, je ne veux pas de problème.
    
    Je lis dans ses yeux que l’affaire est sérieuse. Alors, pour faire bonne mesure, j’expédie deux baffes bien plus sonores que douloureuses dans la tronche de Maud qui bien évidemment en rajoute, sanglote faussement et en tombe sur le cul.
    
    — Pour qui tu te prends, salope ! Je vais t’apprendre la politesse ! Tiens, tant qu’à ouvrir ta gueule, fais-le pour une bonne raison ! Suce-le, ça t’occupera !
    
    J’ai hurlé la première ânerie qui me passait par la tête… Il est vrai qu’il semble assez courant d’exiger de sa Poupée qu’elle pratique une fellation – ou, comme je l’ai vu plusieurs fois, de s’accoupler en pleine rue – avec un parfait inconnu. Mais le surprenant vient du comportement de Maud qui, sans broncher le moins du monde, s’agenouille devant le vieil homme avant d’extirper son sexe de sa braguette et de se mettre à l’astiquer sous le regard de quelques passants visiblement désabusés. Nouveau regard sévère de Wilheim, nouvelle fausse gifle de ma part.
    
    — Je t’ai dit sucer, connasse !
    
    De nouveau, quelques sanglots plutôt bien imités, et elle l’embouche tout à fait. L’homme en a même du mal à rester concentré… Je sais pourquoi : lorsque Maud entreprend de faire glisser sa langue sur le bout de ton gland, il faut s’attendre à apercevoir la Grande Ourse en technicolor.
    
    — Vous étiez à Copenhague ?
    
    J’acquiesce de la tête.
    
    — Dans ce cas, dès que tout ce monde cessera de nous observer, elle pourra cesser ce petit jeu ; je ...
«12...121314...29»