1. Décalage horaire


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fh, fhhh, profélève, grossexe, jardin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... crois que nous avons des points de vue en commun.
    — Je le pense aussi.
    — Dans ce cas, nous serions mieux à discuter ailleurs.
    
    Je baisse les yeux vers Maud, qui continue de le sucer vigoureusement.
    
    — Faites en sorte qu’elle me lâche brutalement, cela fera moins suspect. Désolé, ma belle.
    
    Bien évidement, elle est à genoux. Alors, pour faire sérieux, je lui administre un magistral coup de pied dans l’épaule qui la fait valdinguer sur la pelouse. En fait, Maud a anticipé le coup, que je n’ai naturellement pas vraiment porté. Elle s’est contentée d’accentuer son déséquilibre pour tomber de façon spectaculaire… Sans compter que son cri de pseudo-douleur était assez convaincant. Je la rattrape par son collier et l’invite sans ménagement à se relever, d’autant que nous sommes écoutés.
    
    — Ramène-toi, pétasse. Et ne t’avise pas de l’ouvrir.
    
    La voiture de Wilheim n’est pas très loin. Comme c’est un break et que, une fois encore, notre petit manège semble intéresser beaucoup de monde, c’est à coups de pompes que je fais entrer Maud dans le coffre. Une fois à l’intérieur, la discussion reprend.
    
    — Vous devriez apparaître beaucoup plus dur avec elle si vous ne voulez pas d’ennuis. Une Poupée dont le corps n’a pas de traces de coups et qui ne passe pas son temps à pleurer, c’est suspect. Je vous aurai prévenu.
    
    Même si elle est bien planquée derrière la banquette, Maud a tout entendu.
    
    — Je lui ai déjà dit de me baiser sans chercher à comprendre, Docteur. Mais il ...
    ... n’en fait qu’à sa tête…
    
    --oooOooo--
    
    Le domicile du docteur Wilheim est un charmant petit pavillon situé à deux pas de l’université. Une fois à l’intérieur et à la grande surprise de Maud, il n’est plus question de Poupée. D’ailleurs, le docteur l’a invitée à nous rejoindre à table et à partager un verre.
    
    — Donc, vous étiez à Copenhague, disiez-vous ?
    — Absolument.
    — Dans ce cas, vous savez exactement pourquoi les femmes n’ont jamais combattu directement.
    
    Maud, à mes côtés, ouvre des yeux ronds. Je lui raconte en deux mots la découverte des sous-sols de l’hôpital de Copenhague et des abominables souffrances de ces femmes se faisant dévorer interminablement de l’intérieur… Sans doute la mort la plus atroce que j’ai eue l’occasion de voir dans cette guerre, qui pourtant ne manquait pas d’exemples. Wilheim reprend :
    
    — Et vous savez comme moi que toutes les fautes que l’on a attribuées aux femmes sont bidon. Au contraire, elles ont largement contribué à la victoire.
    — Je le sais ; mais ce que je cherche, ce sont des preuves.
    — D’accord, mais à quoi bon ? Cela ne fera pas revenir nos camarades…
    — Certes, mais cela permettrait peut-être d’en finir avec cette coutume ignoble.
    
    Il a une vilaine grimace.
    
    — Laissez-moi vous dire qu’au-delà du fait que vous n’aurez sans doute jamais ces preuves, vous allez au-devant d’emmerdements que vous n’imaginez pas. De plus, à l’heure où je vous parle, les femmes sont toujours quatre fois plus nombreuses que nous. Si elles ...
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