1. Décalage horaire


    Datte: 15/01/2020, Catégories: fh, fhhh, profélève, grossexe, jardin, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    Note de l’auteur :En écrivant ce texte, j’ai voulu, une fois de plus, sortir des sentiers battus. Ce seront vos appréciations qui me diront si j’ai eu raison de m’aventurer dans cette voie.Bonne lecture.
    
    La seconde moitié du vingt-et-unième siècle s’avérait prometteuse. Après un premier tiers assez calamiteux suite à des crises à répétitions et bien souvent provoquées à dessein par une infime minorité, la situation mondiale s’était enfin stabilisée avant de reprendre le chemin du progrès.
    
    Comment cela était-il arrivé ? Et fait, tout était dû à une coïncidence de calendriers électoraux.
    
    Imagez les cinq pays les plus puissants du monde élisant cinq femmes à leur tête. Plus fort encore, imaginez-les travaillant main dans la main pour le bien de l’humanité toute entière.
    
    Incroyable ? D’ailleurs, nous, il nous a fallu très longtemps pour réussir à le concevoir…
    
    Mais les résultats étaient là : le chômage s’était stabilisé avant de quasiment disparaître, et le niveau de vie de l’ensemble des peuples avait progressé. Certes, il restait encore quelques progrès à faire dans certains domaines, mais la situation était probablement la meilleure que l’humanité ait connue depuis des siècles.
    
    Nous étions d’ailleurs sur le point de réélire ces cinq femmes pour la troisième fois lorsqu’un « petit » détail faillit bien être le grain de sable qui allait enrayer cette machine trop bien huilée.
    
    Sans que l’on ait la moindre idée d’où ils venaient, qui ils étaient et ce ...
    ... qu’ils voulaient, une nuée de vaisseaux extraterrestres venait d’envahir la Terre et de se placer au-dessus des plus grandes métropoles de la planète.
    
    Et puis ? Et bien, après leur arrivée, plus rien. Cela faisait bientôt deux ans qu’ils étaient là, en stationnaire au-dessus de nos villes, sans manifester aucun signe de vie. Toutes les tentatives de prise de contact s’était avérées vaines, cela s’apparentait à s’adresser à un mur et espérer qu’il réponde. Alors, après de longs mois d’inquiétude, il avait été décidé d’attendre. D’attendre quoi ? Bien malin qui aurait pu le dire… Mais, et le monde entier en convenait, s’ils avaient dû nous attaquer, cela aurait déjà fait depuis longtemps.
    
    Et puis, pour ma part, de leurs soucoupes et de leurs invasions qui n’en finissaient pas d’être imminentes, je m’en foutais dans les grandes largeurs… En effet, j’avais une préoccupation autrement plus prenante : j’étais amoureux. Terriblement amoureux, immensément amoureux, infiniment amoureux, atrocement amoureux.
    
    J’avais connu Sylvia sur les bancs de l’école. Nous avions grandi, et notre relation amicale s’était doucement transformée jusqu’à devenir ce qui ressemblait fort à une histoire d’amour. Elle avait quelques mois de plus que moi, aussi était-ce elle qui avait pris la décision d’effectuer le grand saut…
    
    Une soupente poussiéreuse dans une vieille bicoque au milieu de nulle part, un vieux lit vermoulu retapé pour l’occasion et dans la douce chaleur d’un après-midi d’été, elle ...
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