1. Six jours dans la vie d'une femme (8)


    Datte: 12/01/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... tes vêtements... tu veux bien ?
    
    — ... Euh... oui...
    
    — C’est bandant, hein ? De ne rien voir, de seulement deviner ce qui va se passer. D’attendre une caresse dans un endroit alors qu’elle arrive dans un autre, c’est troublant pour toi. Mais ça l’est aussi pour moi de te regarder te tortiller sur ta chaise. Voilà ! Tu as des seins magnifiques. Il ne doit pas s’ennuyer ton mari avec de tels airbags.
    
    —... !
    
    — Et si je faisais venir moi aussi un ami, pour te tripoter ? Qu’en penses-tu ? Il y en a un qui me court après depuis des semaines. Un qui n’a toujours pas compris que je ne serais jamais à lui, qui ne se doute pas que je suis juste... une fille à femme.
    
    — Quoi ? Tu ne vas pas le faire ? Je ne...
    
    — Chut ma belle ! D’abord, je vais te faire taire et ensuite j’aviserai.
    
    — Quoi ? Qu’est-ce que tu vas faire ?
    
    — Ça ma douce, ça !
    
    Et sur la bouche de Laure, c’est une pression étrange. Un objet dur qui se colle à ses lèvres. Elle cherche alors à détourner la tête en se tordant le cou. Mais dans sa position rien n’est simple et comme elle garde les mâchoires fermées, la jeune à une idée de génie. Elle lui pince le nez. Pour respirer, Laure est bien obligée d’ouvrir le bec. L’autre en profite pour lui enfiler dans le gosier ce que la femme attachée ne parvient pas à identifier.
    
    — Et bien ! Tu vois ce n’était pas si compliqué. Un bâillon et te voilà sage comme une image, prête à recevoir le loup.
    
    —...
    
    — C’est bien ! Tu es belle et j’adore ta ...
    ... poitrine. Je vais essayer de baisser ta culotte. Tu pourrais faire un effort ! Lève un peu tes fesses de la chaise. Oui comme ça, c’est bien. Elle n’est pas mal, dentelle et petit flot, elle ne vient pas de mon magasin, cette petite culotte ? Bien. Je retrousse un peu ta jupe, tu peux une fois de plus te relever de quelques centimètres ? Juste pour que je ne la froisse pas trop, ce serait dommage. J’apprécie de toucher ta chatte ma belle. Comme elle est lisse et... oh ! Mais tu mouilles déjà. Cochonne avec ça et ça ne veut pas le faire voir ?
    
    —...
    
    Sur sa chaise, Laure entravée ne peut que subir les attouchements de la jeune femme qui ne se prive pas de tout effleurer. Le doigt qui glisse sur la longueur de sa fente est chaud, agréable et elle ne peut y résister. Lydie se frotte contre le visage de la brune avec insistance. Et elle sait faire monter la température progressivement. Ce qui au départ ne devait être qu’un jeu ordinaire devient très vite un échauffement des corps. Au bout d’un temps que personne ne peut comptabiliser, les mains et les pieds sont détachés. Et sur une moquette épaisse, deux corps roulent, emmêlés dans des ballets voluptueux.
    
    Deux chevelures dansent entre des cuisses largement ouvertes, crinières ondulantes de femelles en rut. La pièce n’est plus remplie que de soupirs et gémissements, incantations d’amour qui reflètent le haut degré de chaleur, qui font fondre les ventres, et battre plus vite aussi les cœurs. Pas question là d’amour, mais bien de ...
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