1. Revebebe devra attendre encore un peu


    Datte: 11/01/2020, Catégories: fh, ffh, couleurs, uniforme, strip, 69, nopéné, fdanus, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... policière de cet après-midi. Toujours accoutrée de son uniforme si peu seyant. Je la contemple, étonné.
    
    — Puis-je entrer ? m’interroge-t-elle.
    — Faites, dis-je en m’effaçant. Que me vaut l’honneur de votre visite ?
    — Je voudrais éclaircir certains points de l’enquête avec vous ; quelques détails m’intriguent.
    
    Ce faisant, elle ôte sa casquette, libérant une longue cascade de cheveux de jais et baisse la fermeture Éclair de son blouson, rendant la liberté à ses seins opulents, aussi sombres que sa chevelure, un buste qui attire mon regard et mes mains comme un aimant attire la limaille de fer. Elle arrache mon drap de bain ; mon menhir se dresse déjà au garde-à-vous. Elle m’embrasse à pleine bouche ; nos langues s’affrontent, nos dents se heurtent. Je caresse son dos et sa poitrine ; elle se saisit de mon calibre comme elle empoigne son arme de service.
    
    — Je voudrais procéder à une reconstitution, m’informe-t-elle entre deux baisers.
    
    Quelle abnégation ! Quelle conscience professionnelle dans ce beau corps qu’est la police nationale !
    
    Je gobe les mûres ornant son orgueilleuse poitrine. Renversant les rôles, j’effectue une méticuleuse fouille au corps. Pour me faciliter le travail, je baisse son pantalon.
    
    — C’est nouveau dans la police de ne plus porter de chaussures ? questionné-je, intrigué.
    — Je les ai laissées à la porte pour aller plus vite : ça prend du temps de délacer ces trucs.
    
    J’apprécie ce sens de l’anticipation.
    
    Le futal vole à travers ...
    ... la pièce. Nous dansons tous deux, serrés l’un contre l’autre, lèvres soudées, moi lui baissant sa mignonne petite culotte rose, elle me caressant la matraque.
    
    Je risque deux doigts vers son bénitier ; je le découvre rasé de près et dégorgeant d’humidité.
    
    — C’est moi qui te fais cet effet ?
    — Oui. Depuis que je suis sortie d’ici, j’ai même dû changer trois fois de slip !
    
    Arrivés près du canapé, je l’y allonge et plonge mon visage vers sa fontaine de Jouvence.
    
    — Ouuiii, s’exclame-t-elle, enthousiaste.
    
    Tout aussi soudainement, la policière reprend le dessus.
    
    — Nooon, arrête, tout de suite !
    
    Je ne comprends plus, surtout qu’elle prend sa voix de représentante des forces de l’ordre pour me le signifier. Un ton autoritaire et impératif.
    
    Elle me retourne et se vautre sur moi, tête-bêche. Je comprends et aime mieux cela.
    
    Elle embouche goulûment ma corne d’abondance.
    
    J’ai au-dessus de moi une œuvre de Stendhal,Le Rouge et le Noir : lèvres rubicondes sur peau d’onyx. Je plonge le nez dans ce roman. Je le dévore, j’en écarte les feuillets, j’y glisse une langue inquisitrice, titille le bourgeon au sommet de la cicatrice.
    
    Je sépare les fesses fermes, insinue un doigt dans sa fleur et un autre dans son trou noir**.
    
    — Roohh ! rugit ma panthère noire, la bouche toujours occupée.
    
    Elle pose son nénuphar dégoulinant sur ma bouche. Dans cette configuration, difficile d’appeler police-secours… Elle me saisit les valseuses et me pompe de plus en plus ...
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