Revebebe devra attendre encore un peu
Datte: 11/01/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couleurs,
uniforme,
strip,
69,
nopéné,
fdanus,
Humour
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... rendra au centuple.
— Prends-en de la graine ! termine Marie en me serrant les bijoux de famille.
J’ai maintenant la grande aiguille qui pointe et vibre sur midi. La jeune policière se passe la langue sur les lèvres ; son collègue murmure un « Nom de Dieu ! » admiratif. Le cocufieur cocufié éclate en sanglots et laisse tomber son arme.
Les deux poulets le menottent tandis que mes deux co-otages continuent de me manipuler le rostre en un concerto à quatre mains, deux diaphanes et deux hâlées.
Je n’y tiens plus. Je ferme les yeux, balance un cri de ravissement, puis j’envoie la purée à travers la pièce, une giclée sur la chemise du mari, une autre sur la chaussure de la poulette, les dernières dans les mains de mes deuxMaja Desnuda.
— Il ne faut rien perdre, dit Paula en se léchant les doigts, un sourire coquin aux lèvres.
— Ce serait péché que de le jeter, renchérit la blonde en faisant la même chose.
Je m’enfile le verre de whisky pour me remettre de mes émotions. Toujours dans le plus simple appareil, je m’approche des policiers.
— Comment êtes-vous arrivés si vite ? Et comment saviez-vous…
— Nous avons été prévenus, me dit le sergent en me montrant la pipelette à sa fenêtre, jumelles à la main.
« Faudra que j’aille lui faire une bise le jour de l’an… »
— Nous vous contacterons pour recueillir votre témoignage, m’avertit la policière.
Alors qu’ils emmènent le menotté, je vois le flic qui montre la chaussure de sa collègue et qui lui dit ...
... :
— Paraît que ça nourrit le cuir.
Paula et Marie m’attendent sagement l’une à côté de l’autre, toujours habillées de leur seule vertu.
— Merci, me dit Paula en déposant un baiser sur mes lèvres.
Sa langue vient s’amuser avec la mienne. Ses petits seins se pressent sur mon torse. Je caresse ses hanches et ses fesses.
— Il nous faudra faire plus ample connaissance, bientôt, me souffle-t-elle dans l’oreille. Et refaire toutes les choses… que tu es censé nous avoir déjà faites.
— Je ne saurais dire mieux, conclut Marie en prenant la place de la brune. Pourquoi pas tous les trois ensemble ?
« Gloups ! »
Je les regarde sortir côte à côte ; elles discutent comme de vieilles amies. Vues de dos, leurs chutes de reins valent bien celles du Niagara ou Victoria ; je lesZambèzerais volontiers !
Mes jambes tremblent un peu. Je m’assieds dans le canapé et me sers une grande rasade de « Rocher Escarpé »* pour me remettre de mes émotions. Lors de notre câlin, j’ai égaré mes doigts dans de sombres et suaves contrées gorgées d’humidité. Il semble que la simple évocation de nos hypothétiques ébats les ait émues au plus haut point, tout comme moi.
~o~
Je vais reprendre une douche. Je me verse un autre verre de Talisker et tente de poursuivre l’écriture de mon texte, toujours vêtu de mon éternel drap de bain. Je suis tout de même tourneboulé par mes aventures de ce tantôt.
À peine ais-je tapé le premier mot que l’on sonne.
À ma porte se tient la jeune et jolie ...