Revebebe devra attendre encore un peu - Histoires de Sexe

Revebebe devra attendre encore un peu

... puis-vous être agréable ?

Svelte, les cheveux lui tombent presque aux reins ; elle possède de longues jambes, la taille fine, la peau couleur de lait. Malgré sa main posée sur sa poitrine, je devine ses seins ronds, fermes et de belle taille.

Pour ne pas paraître vulgaire, j’essaie de ne regarder que son visage, loin d’être désagréable ; un petit nez mutin, de jolies lèvres pulpeuses que j’aimerais savourer, un regard vert et de longs cils de biche.

— Pourriez-vous me tirer d’un mauvais pas ?
— Si cela est dans mes possibilités, volontiers.

« Et même te tirer tout court, s’il t’en vient l’envie ! » Une chance que mon drap de bain soit ample, car une partie de mon anatomie commence à prendre ses aises face à cette charmante vision.

— Voilà, j’entretiens une relation extraconjugale avec votre voisin. Nous nous ébattions au lit quand son épouse est arrivée ; elle serait selon lui d’une jalousie maladive et potentiellement violente.
— Vous voudriez vous cacher chez moi ?
— Pas exactement, elle est capable de venir ici.
— Ah bon… Et que désirez-vous alors ?
— Vous faire passer pour mon amant.

J’en reste baba.

— Qu’en pensez-vous ? Faites vite, elle va rappliquer d’ici peu.
— Vous m’en voyez flatté : j’accepte volontiers.
— Quel est votre prénom ? Moi, c’est Marie.
— Pierre, pour vous servir, dis-je en lui tendant la main.

Elle me tend la sienne en un geste réflexe, dévoilant deux beaux globes fermes et blanc nacré, aux grandes aréoles rosées ...

... décorées d’une drupe appétissante. Elle rougit, se mord les lèvres et laisse tomber la main qui cache son mont de Vénus.

— Maintenant que nous sommes amants… sourit-elle, fataliste.

Quelle belle petite hermine se pelotonne sous sa main ! Un joli mustélidé au pelage châtain très clair, le minois fendu d’un doux sourire, les joues rebondies.

Nous entendons des cris et des bris de verre chez les voisins. Sale temps ! Une tornade ravage l’appartement et la vaisselle vole bas.

— Marie chérie, tu prends un Talisker ou un verre de rosé bien frais ?

Quitte à jouer un rôle, autant bien le jouer.

— Un rosé.

Alors que je lui donne le verre couvert de buée et que je dépose un léger baiser sur ses lèvres – j’adore ce rôle –, une femme entre dans mon salon par la terrasse. Cela devient une habitude ! Elle a dû, comme, Marie enjamber la rambarde.

— Vite, aidez-moi ! me demande cette grande brune en ôtant sa veste.
— Que puis-je pour vous ?
— Mon mari me cocufie, alors je viens de lui annoncer que, moi aussi, je le trompe. J’ai un amant, explique-t-elle en baissant son pantalon.
— Je ne vois pas ce que je viens faire…
— Mon amant, c’est vous ! continue-t-elle en retirant son body.

Deux petits seins tressautent tandis qu’elle sautille en faisant passer le sous-vêtement par-dessus ses chevilles. Un buisson sombre et fourni surmonte deux jolies lèvres zinzolines.

Me voilà avec deux beautés nues dans mon salon. L’une blonde scandinave, l’autre le teint mat, les yeux de ...