Les premiers jours de l'instit
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
fh,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... sa beauté, repassé ses délicieuses lèvres au bâton de rouge, agrandi ses yeux au mascara. Je bande déjà à l’extrême. Ouf, je commençais à douter. Revenue à ma queue, elle continue un moment à la lécher et à la sucer délicieusement. Elle paraît en jouer à peu près comme on avale une glace de chez Berthillon.
Métaphore pour métaphore, j’ai eu un moment l’impression sincère et authentique que ma queue allait fondre dans sa bouche. Elle alterne les mouvements lents et les mouvements rapides, joue des couilles avec ses ongles, fait une petite pause pour me regarder. Elle a dû s’apercevoir que je prends du plaisir et cela l’encourage à continuer. Jusque-là j’étais complètement passif, mais à un moment elle s’est retournée et elle a mis ses fesses à portée de ma main. Jolie croupe de dix-neuf ans, rebondie, étirée, juteuse comme un cactus, limpide comme un miroir. Ma main se lève, je ne sais pas si c’est avec ou sans ma volonté. Toujours est-il que ma main se lève et va explorer cette peau lisse, s’exalter de sa tendresse. Un doigt écarte la culotte, l’autre s’introduit dans le trou, constate sans surprise qu’il est brûlant. Bien encouragée, elle accélère la succion. Je mets deux doigts dans son sexe et je les fais coulisser.
Ça glisse, elle ...
... soupire.
J’accélère, elle gémit.
— Chutt, fais-je.
Elle tente de baisser la voix, mais y arrive difficilement.
Ça dure, elle se cambre, frissonne, jouit.
— Viens, je lui murmure.
Elle se retourne et vient s’allonger sur moi. Je sens les palpitations de son corps, la chaleur de ses seins. Doucement, elle ramène son sexe sur le mien et me laisse m’introduire en elle ; je sens son fourneau me brûler le sexe. C’est chaud, c’est bon. Devenue frénétique, je la laisse faire. Elle se plie, pousse, ondule des hanches, m’écrase les couilles. Elle se caresse les seins en poussant encore plus. Mon sexe souffre le martyre. Mais que c’est bon ! Toujours dans son mouvement effréné, avec sa bouche elle vient sucer mes lèvres, laper mon visage, mon cou. Puis elle frémit, se crispe, se tord de spasmes, jouit de nouveau. Je jouis aussi en elle, ne pouvant plus me retenir.
En me réveillant le matin, je ne la trouve plus. Plus tard dans la journée, Serge me dit qu’elle avait fait la paix avec Ophélie et qu’elles étaient rentrées ensemble chez elles assez tôt le matin.
J’ai su après que Mme Durand n’apprécie guère les rendez-vous nocturnes de Serge et que les filles étaient obligées de déguerpir tôt le matin pour ne pas se faire repérer dans l’enceinte de l’école. Je suis prévenu.