1. Échanges de politesses


    Datte: 04/01/2020, Catégories: fff, fagée, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Montrer son corps ou exhiber ses parures… souris-tu.
    — Peut-être avez-vous raison. Il est vrai qu’un regard admiratif est agréable, mais pour ma part je préfère qu’il se porte sur mes toilettes que sur ma nudité. J’aurais trop peur d’exposer mes imperfections et je serais incapable d’agir comme vous !
    — Qui sait, Marie-Blanche, qui sait ? Nous devrions en reparler, vous me diriez vos craintes. Mais, au moins, avons-nous satisfait à vos désirs ?
    — Oh sans doute, Aline, et au-delà ! Il est très plaisant de découvrir vos formes et de comparer vos silhouettes. J’apprécie beaucoup vos courbes pleines, Chantal, je vous remercie de ce ravissement. J’envie vos poitrines, savez-vous ! Et vos hanches en amphore, Aline, mais vous m’avez sidérée en me dévoilant un instant toute votre intimité. C’était…
    — Gênant, ou excitant ?
    — Terriblement gênant, parce que… excitant, oui. J’ai honte de l’avouer, mais oui, très excitant.
    — N’ayez pas honte Marie-Blanche, au contraire : c’est un gentil compliment pour moi. Vous me rassurez, aussi, car j’avais peur de vous avoir choquée.
    — Certainement pas, Aline, je vous assure. D’ailleurs je vous dois d’être franche : il serait hypocrite de me dire choquée d’avoir entrevu ce que je n’aurais pas osé demander à voir.
    — Ma chérie ! Vous auriez dû ! Je n’aurais pas clôt aussi vite ma chatte ! Voulez-vous me regarder à nouveau et comparer avec Chantal ? Nous serions si heureuses si cela comble vos espoirs secrets !
    
    Sans attendre son accord, tu ...
    ... passes un bras sur mes épaules et poses ton pied droit sur le divan, le genou largement déjeté. Je reproduis symétriquement tes mouvements, amusée et un peu excitée par la situation. Nous encadrons Marie-Blanche comme deux gogo-girls leur proie. Elle n’a même pas esquissé un geste de protestation, juste un aller-retour des yeux, d’un minou entrouvert à l’autre.
    
    Tu places ta main libre sur ton mont de Vénus, les doigts lissant ta légère toison blonde. Comme tout à l’heure, tu utilises tes doigts pour forcer ta fente à s’écarter plus largement qu’elle ne l’est déjà. Je distingue des moirures de mouille sur tes lèvres. Marie-Blanche doit les apercevoir plus encore, elle penche la tête vers ton ventre.
    
    Afin de lui offrir la comparaison intime promise, j’imite ton geste pour écarquiller ma propre vulve. Mais le string gardé dans ma main m’encombre. Je le jette derrière moi sans réfléchir ni porter attention au petit tintement qui suit sa chute. Enfin je peux m’ouvrir ! Je ne comprends pas cette hâte à exhiber mon con à notre hôtesse. Émulation ? Excitation ? Perversion ? J’ai besoin qu’elle me voie, qu’elle me sente. Frisson délicieux quand son visage se tourne de mon côté.
    
    Elle observe de près en silence nos entailles luisantes, à plusieurs reprises. Son regard inspecte les détails de chacune, ici la touffe est blonde et bouclée, là plus sombre et broussailleuse ; ici des lèvres lisses, là des poils indociles ; ici les nymphes forment un cœur, là elles festonnent et ...
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