Échanges de politesses
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... souligne profondément ton sillon fessier, à portée de mon nez. J’inspire ton odeur intime pour la première fois, ma chatte palpite.
Tu avances d’un tout petit pas, ton cul s’éloigne de mon visage. Tu te dresses toute droite devant Marie-Ange, tes pouces passés sous l’élastique du string. Tes seins dominent son front. Son regard est rivé au petit triangle noir plaqué sur ton pubis. Tu lui découvres le haut de ta touffe, quelques poils blonds la narguent. Sa respiration s’accélère, ses yeux croisent les tiens. Tu arrêtes ton geste, tu joues avec ses sentiments contraires d’espoir et de crainte. Tu baisses soudain ton string à mi-cuisses, ton sexe envahit sa vue.
Tu réclames sa main pour t’aider. Elle te la donne sans comprendre. Tu lèves une jambe, puis l’autre pour te séparer de ta lingerie. Ta fourche s’ouvre deux fois à quelques centimètres de son visage.
— Vous voyez, Marie-Ange, il est si simple de satisfaire une curiosité bien naturelle, la taquines-tu en me jetant ton string.
Je ne résiste pas à la tentation, je le hume longuement pour me pénétrer de toi. Et même… je pose ma langue sur le gousset, c’est la première fois que je goûte une trace de toi. Prise d’un scrupule tardif, je jette un œil vers vous ; Marie-Blanche m’a-t-elle vue ? Non, ta chatte accapare son regard. À la position de tes bras, je devine ce que tu fais : un geste osé dont tu m’as confié la photo. Tes doigts écartent tes lèvres assez largement pour que ta fève d’amour, tes nymphes ...
... charnues et tous les trésors de ton entaille soient exhibés. Geste merveilleux ou obscène selon l’humeur de qui l’observe. Pour Marie-Ange, il semble médusant et captivant. Et (trop ?) bref.
Déjà, tu t’es refermée et tu m’appelles.
— Chantal, ma chérie, viens près de moi. Le désir de notre amie était de nous contempler en détail toutes les deux. N’est-ce pas Marie-Ange ?
Notre mondaine hôtesse n’ose se renier, ses joues sont trop rouges, ses yeux sont trop brillants. Ses narines frémissent encore des effluves sexuels qui les ont surprises. Sa bouche articule enfin le mot qu’elle retenait. Mais c’est d’une toute petite voix.
— Oui…
Avouer libère la conscience, dit-on. Marie-Ange respire plus librement, sa nuque se décrispe. Il lui faut quelques secondes encore pour admettre la réalité et accepter la stimulation de ses sens. Côte à côte, nous patientons. Quand elle relève la tête, son regard parcourt nos corps nus avec plus d’assurance. Elle se permet même de sourire.
— Aline, ma chère, votre audace m’a stupéfaite ! Ainsi, vous mettre nue devant une inconnue, ne vous pose aucun problème ?
— Pas une inconnue, une amie. Une nouvelle amie, si vous préférez.
— Une amie, oui, bien sûr. Malgré tout… Certes, c’est une vision charmante que vous contempler toutes les deux, et, oserais-je dire, très sensuelle aussi, mais ne faut-il pas avoir, pardonnez-moi, le goût de l’exhibitionnisme pour vous dénuder si facilement ?
— Toute femme n’est-elle pas un peu exhibitionniste ? ...