1. Échanges de politesses


    Datte: 04/01/2020, Catégories: fff, fagée, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... pas, puisque c’est votre souhait ?
    — Je vous en prie, ce n’est pas un souhait ! Juste une idée comme ça, à cause du sujet dont nous parlions… Ne vous sentez pas obligée de…
    — Idée, souhait… la différence n’est pas grande ! Pourquoi ne pas franchir le pas ? Dans l’intimité de ce boudoir, passer de l’idée au souhait… Il y a si peu à faire pour le réaliser, regardez.
    
    Tout en parlant, tu t’es rapprochée de moi, tu m’as poussée vers elle, tu as ôté ma main du peignoir, tu as posé tes mains sur la ceinture. Marie-Blanche nous regarde, encore hésitante entre l’idée avouée et le souhait coupable. Ses yeux trahissent ce que sa bouche tait. Tout uniment, tu dénoues ma ceinture, tu écartes mes bras que je t’abandonne. Le regard de Marie-Blanche se fixe sur moi. Le peignoir s’ouvre, tu le fais glisser de mes épaules. Je suis nue tout près d’elle.
    
    — Voici votre second vœu exaucé, douce Marie-Blanche, souris-tu, ne désirez-vous pas que le premier le soit aussi ?
    
    Elle ne répond pas, la main nerveusement pressée sur sa poitrine. Elle retient son souffle, de peur d’exprimer le oui qu’elle craint de prononcer. C’est sa tête qui acquiesce inconsciemment à ta demande.
    
    Ta main pèse sur mon épaule, je me retourne. Mes fesses contemplent notre hôtesse muette. Tes mains prennent les miennes. Ensemble, elles glissent au bas de ton débardeur. Ensemble, elles le remontent sur ton ventre. Tes mains quittent les miennes. Je continue le mouvement qui dégage ta poitrine. Je passe dans ton ...
    ... dos. Le débardeur s’envole vers un fauteuil. Tu t’étires comme pour te délasser, en jean et soutien-gorge, sans hypocrisie ni provocation.
    
    Tu places tes mains sur ta poitrine. Les yeux de Marie-Blanche s’y attachent. Je dégrafe ton soutien-gorge. Tu retiens un instant les bonnets, et l’attente de ta spectatrice. Tu dévoiles tes seins, pleins et lourds. Son regard détaille la blancheur des globes, les délicates taches rousses de leur sillon, le rose tendre des larges aréoles, le rose plus vif des tétons encore sages. Ses joues se colorent.
    
    Tu te campes comme sur tes photos, mains au bas des fesses, reins cambrés. Tu la toises, mais ta bouche rieuse dément ton attitude fière. J’aime ton dos harmonieux, les fossettes des omoplates, le fin tracé qui les sépare, le léger bourrelet qui marque ta taille. Tes doigts me désignent la ceinture du jean. Je me serre contre toi pour détacher la boucle. Mes seins touchent ta peau pour la première fois. J’en frémis de plaisir, mes tétons en durcissent. Je défais les boutons pour libérer tes hanches de leur fourreau de tissu. Il les garde captives.
    
    À regret mes seins doivent quitter ta peau tiède. Je m’accroupis derrière toi pour obliger le jean rétif à abandonner tes cuisses. Tes belles fesses s’offrent tout près de mes yeux. J’en frôle la peau tendre pour la première fois, mon cœur bat. Tu prends légèrement appui sur mon épaule pour dégager tes pieds de leurs prisons de toile et de cuir. Tu ne portes plus qu’un string noir. Il ...
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