0204 Un nouveau, incroyable Jérémie.
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... puissant de mâle, chacun d’entre eux étant la notification d’une giclée brûlante qu’il est en train d’envoyer en moi.
Nous venons de faire l’amour et de jouir ensemble ; ainsi, nos jouissances s’éteignent au même moment. Jérém s’abandonne sur moi, tremblant, la respiration agitée. Quant à moi, j’ai l’impression que je n’ai jamais joui aussi fort.
Depuis que j’ai commencé à réviser avec Jérém, j’ai toujours considéré que la jouissance de ma queue était un détail insignifiant de nos rencontres sexuelles ; un détail tellement insignifiant qu’on pouvait très bien ne pas le prendre en compte ; le peu de fois que j’ai joui avec ma queue en me faisant baiser par Jérém, j’ai toujours considéré que ma vraie jouissance avait été avant, dans le fait de l’avoir en moi, de le voir et de le sentir jouir en moi. Son plaisir à lui devenait mon plaisir à moi ; il jouissait comme un mec, je me donnais à lui pour qu’il puisse exprimer toute la puissance de sa virilité, car j’avais envie de voir s’exprimer le mâle, le lion qui était en lui. Je voulais qu’il se rende compte à quel point il me faisait jouir avec sa queue, juste en visant son propre plaisir de mec ; je voulais le savoir fier de me faire jouir ainsi, fier de sa queue.
Mais aujourd’hui, dans cette petite maison en pierre nichée dans les montagnes, tout cela a changé : mon Jérém m’a fait l’amour comme jamais, nos plaisirs se sont mélangés, enlacés, et ils ne sont devenus qu’un seul, un but commun que nous poursuivions « main ...
... dans la main ». J’ai pris du plaisir à lui faire plaisir, mais lui aussi il a pris du plaisir à me faire plaisir.
Jérém se retire de moi, se penche sur le bord du lit, il attrape un t-shirt, le même que tout à l’heure, et m’essuie le torse ; puis, il me fait un bisou, il balance le t-shirt et se glisse sous les draps ; j’en fais de même ; le bobrun s’approche pour me prendre dans ses bras, je me retourne sur le flanc, de façon à ce que son corps puisse envelopper le mien ; nos corps se calent l’un contre l’autre, à la perfection. Jérém passe ses bras autour de mon torse, me serre très fort contre lui, il enfonce son visage dans le creux de mon épaule, il pose d’innombrables bisous tout doux et tout fous dans mon cou, dans le bas de ma nuque, sur mes épaules.
Dehors, il fait froid, il pleut toujours, le vent ronfle sur le toit ; mais dans la petite maison en pierre, le feu crépite bruyamment dans la grande cheminée ; et sous ce draps doux qui sentent bon la lessive, son corps irradie une douce chaleur, et il dégage une délicieuse odeur de jeune mâle, un énivrant mélange d’odeur de gel douche, de déo, de sexe, mais pas que : car, ce soir, son corps sent également l’amour.
Son goût persistant dans ma bouche, mon ventre et mon entrejambe retentissant de l’écho des coups de reins puissants de mon mâle, je me sens envahi par une intense sensation de bien-être. Son jus en moi me fait du bien, je suis groggy de sa testostérone, de sa virilité.
Dans ces draps, je ressens ...