1. 0204 Un nouveau, incroyable Jérémie.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... mouvements, combinés à la lumière mouvante de la flamme, font ressortir d’une façon encore plus spectaculaire le relief de ses pecs, l’envergure de ses épaules, le dessin de sa carrure, la puissance de sa musculature.
    
    Oui, pendant qu’il me fait l’amour, sa plastique, tout comme sa virilité, sont plus impressionnant que jamais ; je suis en train de faire l’amour avec un mâle à la fois doux et viril, c’est un mélange explosif, un mélange qui va me rendre dingue. Un mélange qui me rappelle Stéphane. Et Thibault. Pourtant, c’est mon Jérém à moi…
    
    Combien de chemin parcouru depuis la première « révision » en mode macho qui veut juste se vider les couilles, qui ne pense qu’à son plaisir – une attitude de petit macho certes hyper excitante – mais qui n’est pas grand-chose au final en comparaison avec celle du nouveau Jérém qui ne veut plus juste prendre son pied en moi, mais prendre son pied avec moi.
    
    Le bogoss ahane de plus en plus fort, son regard semble se perdre de plus en plus loin dans cette dimension à part qu’est la montée du plaisir masculin. Je sens, je sais qu’il ne va pas tarder à jouir, en moi.
    
    Pourtant, à un moment, contre toute attente Jérém arrête net ses va-et-vient et, sans se dégager de moi, il s'allonge sur mon torse, la respiration profonde, bruyante, le corps frissonnant, presque tremblant.
    
    « T’as joui ? ».
    
    « Non… je me retiens… ».
    
    « Tu veux pas jouir ? ».
    
    « J’ai le droit ? ».
    
    « Mais bien sûr, vas-y… j’en ai tellement envie… »
    
    « ...
    ... Moi aussi j’ai très envie… ».
    
    « Vas-y alors… ».
    
    « Je veux juste te faire plaisir… encore un peu… ».
    
    « Si tu savais à quel point tu m’as déjà fait plaisir… tu m’as jamais fait l’amour comme ça… jamais… lâche-toi, Jérém, fais-toi plaisir… ».
    
    « C’est tellement bon… » il susurre.
    
    « Ah, oui, grave ! ».
    
    Puis, le bogoss soulève son torse, il me regarde dans les yeux, il passe sa main dans mes cheveux ; il revient me faire un dernier bisou, juste avant de se relever, d’offrir une nouvelle fois à mon regard ébahi la vision spectaculaire de son torse de malade, la vision d’un jeune mâle s’envolant tout seul, vers les sommets de son plaisir de mec. Jérém recommence à envoyer ses coups de reins, tout en me branlant en même temps. Je vibre de plaisir et de bonheur, je vibre avec mon Jérém. Je voudrais que cet instant ne s’arrête jamais.
    
    Mais mon corps n’est pas aussi fort que mon esprit.
    
    « Je vais jouir… » je le préviens en sentant arriver le point de non-retour.
    
    « Moi aussi… » fait-il, la voix et sa belle petite gueule déformées par la montée de l’orgasme.
    
    Un instant plus tard, je jouis, une première giclée atterrit dans le creux de mon cou ; et pendant que mes jets s’enchaînent, atterrissent partout sur mon torse, et même à côté, je vois ses abdos se contracter, je vois tout son corps secoué par la vague de plaisir. Se coups de reins ralentissent, et à chaque fois il s’enfonce en moi jusqu’à la garde ; sa bouche entrouverte émet une succession de râles ...