1. 0204 Un nouveau, incroyable Jérémie.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... possédé. Et aimé.
    
    « Ce petit cul… » je l’entends chuchoter, la voix frémissante d’excitation et de bonheur palpable.
    
    « Cette queue d’enfer… tu me fais un effet de fou… ».
    
    « Toi aussi tu me fais un effet de dingue… ».
    
    Et, ce disant, le bogoss commence à coulisser en moi, tout en douceur. Peu à peu, ses va-et-vient gagnent en puissance, sans pour autant perdre en douceur ; tour à tour, il saisit hanches, puis mes épaules, son torse enveloppe mon dos, ses doigts agacent mes tétons.
    
    Jérém respire fort, il ahane de plaisir ; je couine mon plaisir, sans ménagement. Nous n’avons pas de voisins, nous pouvons nous lâcher.
    
    « Tu prends ton pied ? ».
    
    « Oh, oui, Jérém, je prends mon pied, j’adore ce que tu me fais, tu me rends dingue… ».
    
    « Toi aussi tu me rends dingue… » il chuchote, la voix déformée par le plaisir montant.
    
    Et là, il arrête net ses va-et-vient, il se déboite doucement de moi ; ses mains saisissent mes hanches, elles amorcent le mouvement pour me retourner ; je me laisse faire, je seconde son intention, impatient de le suivre n’importe où ses envies veuillent bien m’amener.
    
    Jérém s’allonge sur moi, il me regarde dans les yeux, le regard tendre, adorable ; et il me balance, la voix calme, douce :
    
    « J’ai envie de te regarder pendant que je te fais l’amour… ».
    
    J’ai envie de pleurer tellement ce qu’il vient de dire est beau.
    
    « Moi aussi j’ai envie de te regarder pendant que tu me fais l’amour, j’en ai eu envie le premier jour où je ...
    ... t’ai vu… ».
    
    Jérém me fait un bisou, puis il relève son buste ; son torse – pecs saillants, abdos sculptés, carrure, musculature – se dresse devant moi dans toute sa puissance, et me donne le tournis.
    
    A chaque fois que j’ai eu la chance de coucher avec cette méga bombasse, je me suis toujours demandé comment je pouvais avoir une telle chance ; et cette sensation je la retrouve aujourd’hui, plus forte que jamais, après un mois où je n’ai pas pu l’avoir en moi, après que j’aie cru que plus jamais je ne l’aurai en moi.
    
    Jérém glisse un oreiller sous mes fesses ; puis, il saisit mes cuisses, il m’attire contre son manche tendu, et il revient doucement mais inexorablement en moi. Lorsqu’il reprend ses va-et-vient, mon plaisir devient délirant.
    
    Le plaisir de le sentir coulisser entre mes fesses se combine avec le plaisir de l’odorat – l’odeur de sa peau et de son déo, l’odeur de sa virilité.
    
    Mais il a aussi avec le plaisir de la vue : mon regard tente d’absorber chaque détail de cette bogossitude renversante qui est la sienne – cheveux bruns en bataille et encore humides, peau mate, traits beaux et virils, brassard tatoué, motif tribal le long de l’épaule remontant le long de son cou jusqu’à son oreille, chaînette de mâle ondulant au gré de ses coups de rein, petit grain de beauté dans la creux de son cou puissant ; je le regarde, les yeux aimantés sur les abdos animés par ses coups de reins puissants, la tête et les épaules légèrement en arriéré ; la position, les ...
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