1. 0204 Un nouveau, incroyable Jérémie.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... glissés sous mon torse pour aller exciter mes tétons. Le bogoss connaît toutes les touches de plaisir de mon corps, et il s’en sert pour jouer une mélodie du plaisir envoutante.
    
    Je suis dans un état d’excitation dément, j’ai l’impression que je pourrais jouir d’un moment à l’autre. Mais je ne le veux pas : ce que je veux, c’est qu’il vienne en moi ; ce que je veux, c’est de le voir, le sentir, l’entendre prendre son pied en moi ; ce que je veux, c’est le savoir jouir en moi.
    
    J’ai envie, j’ai besoin qu’il me remplisse de son jus de mâle ; c’est une envie qui n’a jamais été aussi intense qu’à cet instant précis ; car, si j’ai longtemps eu envie que le « petit con Jérém » me remplisse de sa semence, aujourd’hui, j’ai 100, 1000 fois plus envie encore de m’offrir à ce nouveau Jérém, si adorable, si touchant.
    
    « T’en veux encore ? ».
    
    Je ne sais pas exactement de quoi il parle, lorsqu’il le demande si j’en veux encore, mais je suis prêt à lui signer un chèque en blanc, tant tout ce qu’il vient de me faire, alors qu’il n’est même pas encore venu en moi, est délirant :
    
    « Oui… oh, oui… ».
    
    Un instant plus tard, je sens ses pecs glisser lentement et délicatement le long de mon dos, ses lèvres et sa langue redescendre le long de ma colonne vertébrale, ses mains puissantes empoigner et écarter à nouveau mes fesses. Sa langue retourne titiller mon petit trou, elle alterne des assauts pleins de fougue et d’autres plus en douceur, il me fait languir, il me rend ...
    ... fou.
    
    Jusqu’à ce que, brûlant à la fois de plaisir et de désir encore inassouvi, j’entende chacune de mes fibres, chacune de mes pensées crier :
    
    « J’ai envie de toi, Jérém, prends-moi ! ».
    
    Un cri qui est au bout de mes lèvres, mais que le bogoss ne me laisse pas le loisir de lancer : soudainement, il délaisse ma rondelle, il s’allonge à nouveau sur moi de tout son poids, et il cale à nouveau sa queue raide entre mes fesses.
    
    « J’ai envie de toi » je l’entends chuchoter dans un état second, la voix saturée d’excitation et de désir.
    
    C’est la première fois que je l’entends me dire ces mots. J’ai envie de pleurer de bonheur, bonheur des sens, du corps, de l’esprit, de l’amour.
    
    « Moi aussi j’ai envie de toi ! » je ne peux plus m’empêcher de lui lancer, ivre de lui.
    
    Lorsque je sens à nouveau ses mains saisir et écarter mes fesses, je suis fou ; lorsque je ses ses lèvres enduire ses doigts de salive, puis ces derniers venir en déposer à l’entrée de mon trou, je ne reponds plus de moi-même ; lorsque je sens son gland viser ma rondelle, se presser doucement mais inéxorablement dessus, je suis déja dans une autre dimension ; lorsque je le sens glisser lentement en moi, me pénétrer tout en douceur, tout en me faisant des bisous dans le cou et en caressant mes tétons, je perds ma raison.
    
    Et lorsque je sens le bogoss s’arrêter bien au fond de moi, enfoncé jusqu’à la garde, lorsque je le sens frémir de plaisir, avant de commencer à me faire l’amour, je me sens rempli, comblé, ...
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